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arrêt maladie
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Droits du malade
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Inscrit le: 31.08.06 | Messages: 16 | Hashimoto ou simple ... | Chessy | | 50+
Posté le: 04. Sep 2006, 16:16
Bonjour,
Bon, je ne sais tjr pas si j'ai vraiment une thyroïdite d'hashimoto, mais ce que je sais c'est que je suis en hypo, et que je suis CREVEE ! j'ai été très souvent en arrêt de travail depuis le début de l'année, et j'ai perdu pas mal de crédibilité (mon chef de service est un sâle con lâche et manipulateur ) dans le service et mon équipe ... Ma visite médicale n'aura pas lieu avant décembre, dois-je en demander une anticipée et y aller avec mes analyses (et j'espère un diagnostic sérieux)? dois-je donner des détails à ma hierarchie pour leur faire comprendre que je ne suis pas une "petite nature" abonnée aux arrêts maladie pour un oui ou pour un non ?
Je ne veux pas faire pleurer dans les chaumières, ce n'est pas le but, nous sommes toutes dans une galère, mais j'ai 3h de transports en commun minimum par jour, et je me lève tous les matins à 4h30... et avec ces absences répétées et mon humeur pas vraiment au beau fixe, je culpabilise, et j'ai constament besoin de me justifier ...
Bon, je ne sais tjr pas si j'ai vraiment une thyroïdite d'hashimoto, mais ce que je sais c'est que je suis en hypo, et que je suis CREVEE ! j'ai été très souvent en arrêt de travail depuis le début de l'année, et j'ai perdu pas mal de crédibilité (mon chef de service est un sâle con lâche et manipulateur ) dans le service et mon équipe ... Ma visite médicale n'aura pas lieu avant décembre, dois-je en demander une anticipée et y aller avec mes analyses (et j'espère un diagnostic sérieux)? dois-je donner des détails à ma hierarchie pour leur faire comprendre que je ne suis pas une "petite nature" abonnée aux arrêts maladie pour un oui ou pour un non ?
Je ne veux pas faire pleurer dans les chaumières, ce n'est pas le but, nous sommes toutes dans une galère, mais j'ai 3h de transports en commun minimum par jour, et je me lève tous les matins à 4h30... et avec ces absences répétées et mon humeur pas vraiment au beau fixe, je culpabilise, et j'ai constament besoin de me justifier ...
Posté le: 04. Sep 2006, 16:29
bonjour,
Tu peux demander une visite du travail. Pour cette visite il faudrait seulement que ton dossier médicale soit complèt.
Ensuite tu peux alors demander un mi-temps thyérapeutique ou carrément tu fais un changement d'heures de travail.
Tu peux aller sur le site de l'ANPEC : http://anpec.net/
Tu peux demander une visite du travail. Pour cette visite il faudrait seulement que ton dossier médicale soit complèt.
Ensuite tu peux alors demander un mi-temps thyérapeutique ou carrément tu fais un changement d'heures de travail.
Tu peux aller sur le site de l'ANPEC : http://anpec.net/
Inscrit le: 31.08.06 | Messages: 16 | Hashimoto ou simple ... | Chessy | | 50+
Posté le: 04. Sep 2006, 17:27
Inscrit le: 07.04.06 | Messages: 143 | HASHI BASEDOW EXOPHT... | ROMANS DROME | | 50+
Posté le: 05. Sep 2006, 06:54
Hello !
Moi aussi je suis dans le même cas que toi Hashi et en arrêt de travail depuis 7 mois et incapable de reprendre le boulot dans l'état. Je vais reprendre le mois prochain, je pense, à mi temps thérapeutique dans un premier temps. C'est une assistante sociale de la sécu qui m'a contactée pour savoir si j'avais besoin d'aide et qui m'a donné la marche à suivre. Le site qu'a indiqué Chrys est bien aussi.
Moi aussi un moment j'ai cupabilisé, et j'avais tort, cela ne sert à rien de reprendre le boulot sans être remis complètement, surtout que parfois il faut être solide...
Je te souhaite beaucoup de courage, surtout il faut te reposer le temps qu'il faudra...tu n'as qu'une vie !
Gros bisous,
Muriel
Moi aussi je suis dans le même cas que toi Hashi et en arrêt de travail depuis 7 mois et incapable de reprendre le boulot dans l'état. Je vais reprendre le mois prochain, je pense, à mi temps thérapeutique dans un premier temps. C'est une assistante sociale de la sécu qui m'a contactée pour savoir si j'avais besoin d'aide et qui m'a donné la marche à suivre. Le site qu'a indiqué Chrys est bien aussi.
Moi aussi un moment j'ai cupabilisé, et j'avais tort, cela ne sert à rien de reprendre le boulot sans être remis complètement, surtout que parfois il faut être solide...
Je te souhaite beaucoup de courage, surtout il faut te reposer le temps qu'il faudra...tu n'as qu'une vie !
Gros bisous,
Muriel
Inscrit le: 23.09.05 | Messages: 64 | Hashimoto | Québec | | 40+
Posté le: 05. Sep 2006, 21:57
Bonjour,
Si ça peut te faire sentir mon seule, je suis exactement dans le même cas que toi! J'en suis à trois arrêts de travail prolongés en 1 an et 1/2.
Dans mon cas, j'ai une thyroidite d'hashimoto et je viens d'apprendre récemment que j'ai probablement un problème externe à la thyroide qui fait que je ne suis pas stabilisable. Vraissemblablement un problème au niveau de l'hypophyse (adénome à TSH ou résistance hypophysaire aux hormones thyroidiennes que mon médecin m'a évoqué comme possibilité). Une sacrée histoire que celle-là...!
Avant, au travail, j'étais considéré comme un employé exemplaire au travail qui était toujours prêt à en donner plus pour la compagnie, l'avenir semblait prometteur... je me sentais apprécié
Maintenant, je dois toujours faire attention aux efforts dépensés, et je n'ai pas souvenir de m'être senti bien le soir après une journée de travail depuis 6 mois. Heureusement, j'ai toujours été bien traité par mes patrons.
Je réalise au venant ici que je ne suis pas seul dans ma situation et ça confirme que je ne deviens pas fou!
Alors bon courage, il y a une solution à tout problème.
Si ça peut te faire sentir mon seule, je suis exactement dans le même cas que toi! J'en suis à trois arrêts de travail prolongés en 1 an et 1/2.
Dans mon cas, j'ai une thyroidite d'hashimoto et je viens d'apprendre récemment que j'ai probablement un problème externe à la thyroide qui fait que je ne suis pas stabilisable. Vraissemblablement un problème au niveau de l'hypophyse (adénome à TSH ou résistance hypophysaire aux hormones thyroidiennes que mon médecin m'a évoqué comme possibilité). Une sacrée histoire que celle-là...!
Avant, au travail, j'étais considéré comme un employé exemplaire au travail qui était toujours prêt à en donner plus pour la compagnie, l'avenir semblait prometteur... je me sentais apprécié
Maintenant, je dois toujours faire attention aux efforts dépensés, et je n'ai pas souvenir de m'être senti bien le soir après une journée de travail depuis 6 mois. Heureusement, j'ai toujours été bien traité par mes patrons.
Je réalise au venant ici que je ne suis pas seul dans ma situation et ça confirme que je ne deviens pas fou!
Alors bon courage, il y a une solution à tout problème.
Inscrit le: 13.07.06 | Messages: 17 | Ablation totale suit... | 44 |
Posté le: 06. Sep 2006, 08:58
Bienvenue oona13
J'ai récidivé d'une maladie de basedow en octobre 2005 (hyperthyroïdie). J'ai eu un arrêt de travail en Janvier 2006 et comme toi, ma hiérarchie ne croyait pas vraiment en ma maladie. Losrsque j'ai été prolongée en février, le chef de service a dit : "elle n'a qu'à se faire opérer, m.... !". Comme si c'était si simple, si facile...
C'est une période où je n'ai pas trop été soutenue par l'environnement du boulot. Seuls quelques collègues ont compris que ma maladie n'était pas anodine, et qu'elle provoquait des désordres physiques et mentals assez importants. Peu de gens savent à quoi sert la glande thyroide et combien elle est importante pour le fonctionnement du corps...
Au début je culpabilisais d'être en arrêt, car cela ne m'arrive jamais. Et puis j'ai repris le travail début mars et j'ai pu ressentir à quel point on doutait de ma maladie, on la minimisait, c'est tout juste si je n'inventais pas les symptômes !!!
J'ai commencé à déprimer. Je n'allais pas bien du tout à cause de l'ambiance au boulot !!! Je pleurais dès que je quittais le travail...
Alors je suis retournée voir le médecin qui m'a de nouveau mise en arrêt de travail (quinze jours) puis j'ai repris en mi-temps thérapeutique et c'est seulement à partir de ce moment là que j'ai pu prendre le recul nécessaire. J'ai compris qu'il ne fallais SURTOUT PAS se sentir coupable, que ce qui était important c'était MA santé avant tout et la qualité de la vie de tous les jours EN DEHORS du travail ! C'est la qu'on trouve le vrai soutient, le réconfort nécessaire auprès de ceux qui nous sont chers...
J'ai été en Mi-temps pendant quatre mois, puis après un traitement de six mois nous avons convenus avec mon endocrinologue qu'il fallait opérer. L'opération s'est déroulée le 25 juillet 2006. Le chirurgien a prescit un arrêt de travail d'un mois, qui a été renouvelé pour un mois de plus car mes analyses n'étaient pas satisfaisantes (grosse hypothyroïdie).
Aujourd'hui ça va mieux, le lévo fait son effet et je pense pouvoir reprendre le travail fin sept.
Bilan des courses : j'ai fais ce qu'il faut pour moi, pour me soigner et aller mieux.
Alors, je ne peux que te conseiller de ne pas t'en faire pour ton boulot, pour ce qui s'y dit ou ce qu'en pense ton chef, tu as suffisamment de problème à régler avec ta maladie. Prends le temps nécessaire pour toi, car de toute façon on n'est pas efficace du tout avec ce genre de maladie !
Ne te justifie pas et laisse tomber la crédibité ! Car c'est quand même abérant de se sentir coupable d'être malade ! Et tu ne dois rien prouver, ni justifier auprès de ta direction, la seule entité à qui tu dois rendre des comptes c'est la médecine du travail et son médecin conseil qui lui seul est apte à "vérifier et s'assurer" que tu es effectivement malade et que tu ne gruges pas la sécu. Si tu le souhaites, tu peux effectivement demander un RV anticipé avec la medecine où je t'invite à dénoncer le comportement "désolant" (pour rester polie) de ta hiérarchie et de tes collègues.
Tiens bon ! Soigne toi ! et M.... aux chefs !
J'ai récidivé d'une maladie de basedow en octobre 2005 (hyperthyroïdie). J'ai eu un arrêt de travail en Janvier 2006 et comme toi, ma hiérarchie ne croyait pas vraiment en ma maladie. Losrsque j'ai été prolongée en février, le chef de service a dit : "elle n'a qu'à se faire opérer, m.... !". Comme si c'était si simple, si facile...
C'est une période où je n'ai pas trop été soutenue par l'environnement du boulot. Seuls quelques collègues ont compris que ma maladie n'était pas anodine, et qu'elle provoquait des désordres physiques et mentals assez importants. Peu de gens savent à quoi sert la glande thyroide et combien elle est importante pour le fonctionnement du corps...
Au début je culpabilisais d'être en arrêt, car cela ne m'arrive jamais. Et puis j'ai repris le travail début mars et j'ai pu ressentir à quel point on doutait de ma maladie, on la minimisait, c'est tout juste si je n'inventais pas les symptômes !!!
J'ai commencé à déprimer. Je n'allais pas bien du tout à cause de l'ambiance au boulot !!! Je pleurais dès que je quittais le travail...
Alors je suis retournée voir le médecin qui m'a de nouveau mise en arrêt de travail (quinze jours) puis j'ai repris en mi-temps thérapeutique et c'est seulement à partir de ce moment là que j'ai pu prendre le recul nécessaire. J'ai compris qu'il ne fallais SURTOUT PAS se sentir coupable, que ce qui était important c'était MA santé avant tout et la qualité de la vie de tous les jours EN DEHORS du travail ! C'est la qu'on trouve le vrai soutient, le réconfort nécessaire auprès de ceux qui nous sont chers...
J'ai été en Mi-temps pendant quatre mois, puis après un traitement de six mois nous avons convenus avec mon endocrinologue qu'il fallait opérer. L'opération s'est déroulée le 25 juillet 2006. Le chirurgien a prescit un arrêt de travail d'un mois, qui a été renouvelé pour un mois de plus car mes analyses n'étaient pas satisfaisantes (grosse hypothyroïdie).
Aujourd'hui ça va mieux, le lévo fait son effet et je pense pouvoir reprendre le travail fin sept.
Bilan des courses : j'ai fais ce qu'il faut pour moi, pour me soigner et aller mieux.
Alors, je ne peux que te conseiller de ne pas t'en faire pour ton boulot, pour ce qui s'y dit ou ce qu'en pense ton chef, tu as suffisamment de problème à régler avec ta maladie. Prends le temps nécessaire pour toi, car de toute façon on n'est pas efficace du tout avec ce genre de maladie !
Ne te justifie pas et laisse tomber la crédibité ! Car c'est quand même abérant de se sentir coupable d'être malade ! Et tu ne dois rien prouver, ni justifier auprès de ta direction, la seule entité à qui tu dois rendre des comptes c'est la médecine du travail et son médecin conseil qui lui seul est apte à "vérifier et s'assurer" que tu es effectivement malade et que tu ne gruges pas la sécu. Si tu le souhaites, tu peux effectivement demander un RV anticipé avec la medecine où je t'invite à dénoncer le comportement "désolant" (pour rester polie) de ta hiérarchie et de tes collègues.
Tiens bon ! Soigne toi ! et M.... aux chefs !
Inscrit le: 24.08.06 | Messages: 16 | Ablation totale de l... | toulouse | | 50+
Posté le: 07. Sep 2006, 09:56
salut
courage,
je te comprends car même si j ai une petite hypo je suis super crevée. dans mon boulot personne ne prend au serieux les problemes de thyroide mais c est plus que fatiguant. Je ne crois pas indispensable que ta hierarchie soit au courant des details de ta maladie car tu ne pourras pas les empecher de penser, parler . alors prends le temps de te soigner pour etre à nouveau en forme. Ta santé vaut beaucoup plus qu un chef idiot. Sans compter que la roue tourne, un jour c est peut être lui qui aura besoin de soutien
garde le moral,
courage,
je te comprends car même si j ai une petite hypo je suis super crevée. dans mon boulot personne ne prend au serieux les problemes de thyroide mais c est plus que fatiguant. Je ne crois pas indispensable que ta hierarchie soit au courant des details de ta maladie car tu ne pourras pas les empecher de penser, parler . alors prends le temps de te soigner pour etre à nouveau en forme. Ta santé vaut beaucoup plus qu un chef idiot. Sans compter que la roue tourne, un jour c est peut être lui qui aura besoin de soutien
garde le moral,
Posté le: 08. Sep 2006, 22:35
Bonsoir à tous et à toutes j'ai posté un sujet sur les problèmes liés au travail, j'ai une thyroïdite de Hashimoto et je me retrouve dans chacun de vos témoignages! quelque part je suis rassurée de voir que je ne suis pas seule à vivre ce calvaire qu'est d'aller au travail (que j'aimais avant d'être malade) et de savoir qu'on va une fois de plus être hors jeu, hors service...depuis peu ma tsh a augmenter et ma tristesse avec. Je ne ris plus au blague de mes collègues et suis très distante avec eux. J'ai le sentiment de ne pas être intégrée, d'être differente. Je suis en arrêt depuis aujourd'hui, pour 10 jours, car j'ai décidé de ne plus lutter contre ma fatigue qui me ronge, je n'ai que 24 ans et je me sens une petite mémé. Pourquoi on se sent mal à l'aise d'être en arrêt? c'est vrai que c'est injuste, nous sommes malade et même si les symptômes sont invisibles et silencieux ont en souffre tout de même et notre entourage avec. J'ai pris le parti d'être plus à l'écoute de moi même, tant pis pour les ragots, les gens en bonne santé ne le seront pas toujours...
Inscrit le: 31.08.06 | Messages: 16 | Hashimoto ou simple ... | Chessy | | 50+
Posté le: 10. Sep 2006, 10:39
Merci à toutes et à tous pour vos témoignages et conseils !
Je reprend le travail demain, et même si "physiquement" je me sens mieux (un peu moins fatiguée ) j'angoisse un peu (ça fait un peu "rentrée des classes" )
Quant à l'attitude de ma hierarchie/collègues, j'ai décidé d'essayer d'ignorer ceux dont l'attitude est toxique (les c..., les frustrés, les jaloux [eh oui, y'en a qui aimeraient bien être en arrêt maladie ! ], les "socialement deficients" etc ...) et de ne fréquenter que ceux que j'apprecie, que j'écoute, qui m'écoutent, qui m'ont manifesté sympathie et empathie ! La vie est trop courte pour s'embarrasser des gens peu intéressants !
Et puis surtout, je vais me soigner !
Alors bon courage et bonne continuation à vous toutes et tous !
Je reprend le travail demain, et même si "physiquement" je me sens mieux (un peu moins fatiguée ) j'angoisse un peu (ça fait un peu "rentrée des classes" )
Quant à l'attitude de ma hierarchie/collègues, j'ai décidé d'essayer d'ignorer ceux dont l'attitude est toxique (les c..., les frustrés, les jaloux [eh oui, y'en a qui aimeraient bien être en arrêt maladie ! ], les "socialement deficients" etc ...) et de ne fréquenter que ceux que j'apprecie, que j'écoute, qui m'écoutent, qui m'ont manifesté sympathie et empathie ! La vie est trop courte pour s'embarrasser des gens peu intéressants !
Et puis surtout, je vais me soigner !
Alors bon courage et bonne continuation à vous toutes et tous !
_________________
metro boulot dodo OK ... mais dodo dans le métro et au boulot ???
Posté le: 10. Sep 2006, 10:45
oona13 a écrit: |
Quant à l'attitude de ma hierarchie/collègues, j'ai décidé d'essayer d'ignorer ceux dont l'attitude est toxique (les c..., les frustrés, les jaloux [eh oui, y'en a qui aimeraient bien être en arrêt maladie ! ], les "socialement deficients" etc ...) et de ne fréquenter que ceux que j'apprecie, que j'écoute, qui m'écoutent, qui m'ont manifesté sympathie et empathie ! La vie est trop courte pour s'embarrasser des gens peu intéressants ! ! |
Bravo Oona §
En effet, l'avantage que donne le fait d'être malade, c'est que ça permet de faire le tri.
Bon courage pour la reprise !
Inscrit le: 21.09.06 | Messages: 27 | Hashimoto | strasbourg | | 40+
Posté le: 22. Sep 2006, 21:38
Inscrit le: 11.05.06 | Messages: 498 | Thyroidectomie total... | la seyne sur mer | | 40+
Posté le: 23. Sep 2006, 09:36
anne67100 a écrit: |
Bonsoir à tous?
mais ne peut on pas se mettre en invalidité tout simplement? |
non, il faut 3 ans d'arrêt maladie, n'importe quelle pathologie ne peut pas être en invalidité, on passe devant le medecin inspecteur de la sécu aurpès un dossier a été fait, c'est long très long pour éviter les abus. en endocrino la seule maladie à 100% est le cancer d'ailleurs.
Posté le: 23. Sep 2006, 11:16
nutella a écrit: | ||
non, il faut 3 ans d'arrêt maladie, n'importe quelle pathologie ne peut pas être en invalidité, on passe devant le medecin inspecteur de la sécu aurpès un dossier a été fait, c'est long très long pour éviter les abus. en endocrino la seule maladie à 100% est le cancer d'ailleurs. |
3 ans après mon opération , le généraliste m'a mis en mi-temps thérapeutique, du coup le médecin de la sécu m'a convoquée et dit qu'après 3 ans, je n'y avais plus droit mais qu'il pouvait me mettre en invalidité, si je voulais.
Inscrit le: 07.04.06 | Messages: 143 | HASHI BASEDOW EXOPHT... | ROMANS DROME | | 50+
Posté le: 24. Sep 2006, 08:04
Posté le: 24. Sep 2006, 10:28
ça dépend bcp du médecin sur lequel on tombe. J'ai toujours eu du pot qu'on me fasse confiance avec des chiffres "dans les normes" que ce soit à la Sécu ou à la médecine du travail (Académie).
j'ai pris une retraite anticipée, mais j'ai retravaillé à temps complet la dernière année où j'ai enseigné (grâce à l'apport de T3),et à ce moment-là l'invalidité a été suspendue.
j'ai pris une retraite anticipée, mais j'ai retravaillé à temps complet la dernière année où j'ai enseigné (grâce à l'apport de T3),et à ce moment-là l'invalidité a été suspendue.
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