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Article: précautions recommandées aux patients après I131
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Cancer
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Posté le: 05. Oct 2007, 21:30
Bonsoir,
en cherchant un peu sur Internet, concernant les "recommandations à l'usage des médecins nucléaires" (en attendant une réponse de la SFMN au sujet des précautions post-cure à respecter vis à vis des jeunes enfants, ils travaillent actuellement là-dessus), je viens de trouver un document intéressant et très complèt sur une étude de fin 2006, effectuée par le Groupe de travail de la section radioprotection du Conseil Supérieur d’Hygiène Publique de France :
http://www.asn.fr/lasn-publie-lavis.....tements-liode-131-en-me-0
(lien direct vers le rapport : http://www.asn.fr/sites/default/fil....._du_groupe_de_travail.pdf )
sur les "précautions recommandées aux patients afin de limiter l'exposition aux rayonnement ionisants de leurs proches" ...
Je pense que c'est l'un des documents les plus récents actuellement disponibles à ce sujet ? C'est très intéressant et très complet, avec plein de calculs etc (très impressionnant, toutes ces formules !) et ça calcule précisement les doses en millisievert reçu par les proches en se tenant pendant tel temps à telle distance du patient ...
C'est un peu compliqué pour nous ici, mais en attendant des recommandations plus "pratiques" de la part de la SFMN, je pense que c'est déjà pas trop mal ...
Et j'espère qu'un jour ou autre, on arrivera vraiment à mener une "campagne de mesure", comme le propose le prof Schlumberger et comme le recommande également cette étude, pour déterminer AVEC PRECISION les doses vraiment reçues par l'entourage, au lieu de se satisfaire de calculs théoriques ... (pour l'anecdote, j'ai récemment appris, en discutant avec une collègue suédoise, que chez elle, en Suède, ce genre de mesures se faisait déjà il y a 13 ou 14 ans ... quand elle est revenue chez elle après un traitement pour Basedow, sa famille était équipé d'un appareil pour mesurer le rayonnement, et cela non pas à titre expérimental, mais "en standard" ... comme quoi, il y a des exemples dont on pourrait s'inspirer, en France, je tente d'ailleurs d'obtenir les coordonnées des médecins responsables de ces mesures pour les mettre en contact avec les spécialistes français ...)
Beate
en cherchant un peu sur Internet, concernant les "recommandations à l'usage des médecins nucléaires" (en attendant une réponse de la SFMN au sujet des précautions post-cure à respecter vis à vis des jeunes enfants, ils travaillent actuellement là-dessus), je viens de trouver un document intéressant et très complèt sur une étude de fin 2006, effectuée par le Groupe de travail de la section radioprotection du Conseil Supérieur d’Hygiène Publique de France :
http://www.asn.fr/lasn-publie-lavis.....tements-liode-131-en-me-0
(lien direct vers le rapport : http://www.asn.fr/sites/default/fil....._du_groupe_de_travail.pdf )
sur les "précautions recommandées aux patients afin de limiter l'exposition aux rayonnement ionisants de leurs proches" ...
Je pense que c'est l'un des documents les plus récents actuellement disponibles à ce sujet ? C'est très intéressant et très complet, avec plein de calculs etc (très impressionnant, toutes ces formules !) et ça calcule précisement les doses en millisievert reçu par les proches en se tenant pendant tel temps à telle distance du patient ...
C'est un peu compliqué pour nous ici, mais en attendant des recommandations plus "pratiques" de la part de la SFMN, je pense que c'est déjà pas trop mal ...
Et j'espère qu'un jour ou autre, on arrivera vraiment à mener une "campagne de mesure", comme le propose le prof Schlumberger et comme le recommande également cette étude, pour déterminer AVEC PRECISION les doses vraiment reçues par l'entourage, au lieu de se satisfaire de calculs théoriques ... (pour l'anecdote, j'ai récemment appris, en discutant avec une collègue suédoise, que chez elle, en Suède, ce genre de mesures se faisait déjà il y a 13 ou 14 ans ... quand elle est revenue chez elle après un traitement pour Basedow, sa famille était équipé d'un appareil pour mesurer le rayonnement, et cela non pas à titre expérimental, mais "en standard" ... comme quoi, il y a des exemples dont on pourrait s'inspirer, en France, je tente d'ailleurs d'obtenir les coordonnées des médecins responsables de ces mesures pour les mettre en contact avec les spécialistes français ...)
Beate
Dernière édition par Beate le 27. Juil 2009, 12:23; édité 3 fois
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Posté le: 30. Nov 2007, 20:19
Comme promis à Beate, petite traduction du document assez « matheux » sur les recommandations en sortie de cure, notamment concernant l’exposition des proches et du public !
En fait, les pages vraiment lisibles et importantes pour nous sont les pages 11 et 12.
En résumé :
Lorsqu’on prévoit notre sortie de la chambre plombée, en général au bout de 48h après ingestion de la fameuse gélule, un isotopiste ou le médecin de médecine nucléaire doit préalablement vérifier notre rayonnement résiduel. Ca s’appelle le « débit de dose », et ça exprime la quantité de rayonnements ionisants qui sont émis par les particules d’iode radioactif encore présentes dans notre corps.
L’iode radioactif reste en général surtout au niveau du cou (résidus thyroïdiens et glandes salivaires), mais aussi (tant qu’on n’a pas éliminé ce qu’on a encore dans les voies digestives) dans le colon et le rectum (d’où l’intérêt de prendre des laxatifs et autres accélérateurs de transit…).
Pour qu’on soit autorisé à sortir, il faut que cette valeur soit inférieure à 25 µSivert/h (valeur mesurée avec un compteur Geiger positionné à 1m de notre corps).
Ce qui veut dire, par rapport au tableau de la page 11, que nous sommes toujours dans la 1ère colonne de gauche ! En clair, si c'est votre cas, ça signifie que dès la sortie, pas de précautions particulières pour les visites, ni pour le travail avec les collègues, ni même avec les enfants dès qu’ils ont plus de 3 ans. Par contre, 24h de précautions par rapport au conjoint (donc pas de proximité prolongée, lit séparé, pas d’échange de sécrétions, etc), et même 48h de distance avec la conjointe enceinte et les enfants de moins de 3 ans. Donc ça relativise un peu les préconisations parfois draconiennes qu’on entend parfois…
Et il faut savoir que notre débit de dose diminue rapidement encore après la sortie, avec l’élimination des résidus digestifs restants le cas échéant, et la diminution de la radioactivité émise par l’iode 131 (divisée par 2 tous les 8 jours).
Ce qui veut dire qu’il faut demander son débit de dose en sortie de cure, pour pouvoir adapter en fonction de son taux réel (se reporter alors à la page 11, tableau du bas) !
En fait, les pages vraiment lisibles et importantes pour nous sont les pages 11 et 12.
En résumé :
Lorsqu’on prévoit notre sortie de la chambre plombée, en général au bout de 48h après ingestion de la fameuse gélule, un isotopiste ou le médecin de médecine nucléaire doit préalablement vérifier notre rayonnement résiduel. Ca s’appelle le « débit de dose », et ça exprime la quantité de rayonnements ionisants qui sont émis par les particules d’iode radioactif encore présentes dans notre corps.
L’iode radioactif reste en général surtout au niveau du cou (résidus thyroïdiens et glandes salivaires), mais aussi (tant qu’on n’a pas éliminé ce qu’on a encore dans les voies digestives) dans le colon et le rectum (d’où l’intérêt de prendre des laxatifs et autres accélérateurs de transit…).
Pour qu’on soit autorisé à sortir, il faut que cette valeur soit inférieure à 25 µSivert/h (valeur mesurée avec un compteur Geiger positionné à 1m de notre corps).
Ce qui veut dire, par rapport au tableau de la page 11, que nous sommes toujours dans la 1ère colonne de gauche ! En clair, si c'est votre cas, ça signifie que dès la sortie, pas de précautions particulières pour les visites, ni pour le travail avec les collègues, ni même avec les enfants dès qu’ils ont plus de 3 ans. Par contre, 24h de précautions par rapport au conjoint (donc pas de proximité prolongée, lit séparé, pas d’échange de sécrétions, etc), et même 48h de distance avec la conjointe enceinte et les enfants de moins de 3 ans. Donc ça relativise un peu les préconisations parfois draconiennes qu’on entend parfois…
Et il faut savoir que notre débit de dose diminue rapidement encore après la sortie, avec l’élimination des résidus digestifs restants le cas échéant, et la diminution de la radioactivité émise par l’iode 131 (divisée par 2 tous les 8 jours).
Ce qui veut dire qu’il faut demander son débit de dose en sortie de cure, pour pouvoir adapter en fonction de son taux réel (se reporter alors à la page 11, tableau du bas) !
Posté le: 08. Juil 2009, 21:22
Bonjour,
j'ai voulu relire ce document, et il n'est apparemment plus disponible ??
Voici les liens que j'ai trouvé, sur des sujets similaires (mais ces articles sont moins spécifiques que l'article mentionné ... je vais continuer mes recherches pour voir si je peux le retrouver ...) :
http://www.irsn.org/document/site_1.....ayonnements_ionisants.pdf
http://www.irsn.org/document/site_1.....595DP_radioprotection.pdf
http://www.inrs.fr/inrs-pub/inrs01......rence/tc%20106//tc106.pdf
http://www.dmt-prevention.fr/inrs-p.....rence/TC%20114//TC114.pdf
Je viens d'envoyer un mail à l'autorité de sécurité nucléaire, sur le site de laquelle se trouvait le rapport, en leur demandant s'il est possible de le recupérer (et je demanderai aussi à quelques médecins nucléaires autour de moi).
Beate
j'ai voulu relire ce document, et il n'est apparemment plus disponible ??
Voici les liens que j'ai trouvé, sur des sujets similaires (mais ces articles sont moins spécifiques que l'article mentionné ... je vais continuer mes recherches pour voir si je peux le retrouver ...) :
http://www.irsn.org/document/site_1.....ayonnements_ionisants.pdf
http://www.irsn.org/document/site_1.....595DP_radioprotection.pdf
http://www.inrs.fr/inrs-pub/inrs01......rence/tc%20106//tc106.pdf
http://www.dmt-prevention.fr/inrs-p.....rence/TC%20114//TC114.pdf
Je viens d'envoyer un mail à l'autorité de sécurité nucléaire, sur le site de laquelle se trouvait le rapport, en leur demandant s'il est possible de le recupérer (et je demanderai aussi à quelques médecins nucléaires autour de moi).
Beate
Posté le: 09. Juil 2009, 13:09
Bonjour,
ils sont sacrément efficaces, à l'autorité de la sûreté nucléaire ! Je leur ai écrit hier soir, au sujet du lien qui ne fonctionne plus - et voici déjà leur réponse, avec un nouveau lien (que je viens de corriger dans le message initial) !
Beate
ils sont sacrément efficaces, à l'autorité de la sûreté nucléaire ! Je leur ai écrit hier soir, au sujet du lien qui ne fonctionne plus - et voici déjà leur réponse, avec un nouveau lien (que je viens de corriger dans le message initial) !
Beate
Citation: |
Bonjour,
Nous vous remercions de l'intérêt que vous portez à l'Autorité de sûreté nucléaire et à ses activités. Le rapport que vous recherchez est de nouveau accessible depuis la page suivante du site internet de l'ASN : http://www.asn.fr/lasn-publie-lavis.....itements-liode-131-en-med En nous excusant pour la gêne occasionnée par ce problème technique, Cordialement, Centre d'information et de documentation du public Autorité de sûreté nucléaire 6 place du Colonel Bourgoin 75012 Paris 01.40.19.87.23 |
Inscrit le: 30.04.09 | Messages: 68 | Cancer papillaire bi... | Lavaur (Tarn) | | 40+
Posté le: 25. Juil 2009, 15:13
Posté le: 25. Juil 2009, 17:50
Posté le: 27. Juil 2009, 11:41
Bonjour,
ils sont très réactifs à l'ASN ! Voici leur réponse, avec le document en pièce jointe et un nouveau lien !
Beate
ils sont très réactifs à l'ASN ! Voici leur réponse, avec le document en pièce jointe et un nouveau lien !
Beate
Citation: |
Bonjour,
Nous vous remercions de l'intérêt que vous portez à l'Autorité de sûreté nucléaire et à ses activités. Veuillez trouver ci-joint le document que vous recherchez, qui est également disponible à partir de la page suivante du site internet de l'ASN : http://www.asn.fr/lasn-publie-lavis.....tements-liode-131-en-me-0 Cordialement, Centre d'information et de documentation du public Autorité de sûreté nucléaire 6 place du Colonel Bourgoin 75012 Paris 01.40.19.87.23 |
Inscrit le: 30.04.09 | Messages: 68 | Cancer papillaire bi... | Lavaur (Tarn) | | 40+
Posté le: 27. Juil 2009, 13:07
Inscrit le: 23.11.09 | Messages: 33 |
Posté le: 08. Mar 2010, 17:33
Posté le: 08. Mar 2010, 17:35
Posté le: 22. Juil 2011, 20:51
Bonsoir,
en vérifiant, je viens de constater que les liens ont, une fois de plus, été modifiés !
Voici les nouveaux liens :
L'ASN publie l'avis de la section de radioprotection du CSHPF relatif aux traitements à l'iode 131 en médecine nucléaire :
http://www.asn.fr/index.php/S-informer/Actualites/2007/Traitements-a-l-iode-131-en-medecine-nucleaire
Rapport du groupe de travail :
http://www.asn.fr/index.php/content/download/21917/120015/file/Consultez_le_rapport_du_groupe_de_travail.pdf
Egalement intéressante, cette publication récente (2011), qui parle, entre autres, de l'iode 131 (mais également de plein d'autres isotopes) - on peut lancer une recherche sur "131" à l'intérieur du document, pour trouver les chapitres traitant de la cure d'iode :
Contrôle n°192 : Imagerie médicale - maîtriser les expositions aux rayonnements ionisants :
http://www.asn.fr/index.php/S-informer/Publications/La-revue-Controle/Dossiers-de-Controle-2011/Controle-n-192-Imagerie-medicale-maitriser-les-expositions-aux-rayonnements-ionisants
en vérifiant, je viens de constater que les liens ont, une fois de plus, été modifiés !
Voici les nouveaux liens :
L'ASN publie l'avis de la section de radioprotection du CSHPF relatif aux traitements à l'iode 131 en médecine nucléaire :
http://www.asn.fr/index.php/S-informer/Actualites/2007/Traitements-a-l-iode-131-en-medecine-nucleaire
Rapport du groupe de travail :
http://www.asn.fr/index.php/content/download/21917/120015/file/Consultez_le_rapport_du_groupe_de_travail.pdf
Egalement intéressante, cette publication récente (2011), qui parle, entre autres, de l'iode 131 (mais également de plein d'autres isotopes) - on peut lancer une recherche sur "131" à l'intérieur du document, pour trouver les chapitres traitant de la cure d'iode :
Contrôle n°192 : Imagerie médicale - maîtriser les expositions aux rayonnements ionisants :
http://www.asn.fr/index.php/S-informer/Publications/La-revue-Controle/Dossiers-de-Controle-2011/Controle-n-192-Imagerie-medicale-maitriser-les-expositions-aux-rayonnements-ionisants
Inscrit le: 09.12.17 | Messages: 1 |
Posté le: 29. Mar 2018, 12:20
lilette a écrit: |
Comme promis à Beate, petite traduction du document assez « matheux » sur les recommandations en sortie de cure, notamment concernant l’exposition des proches et du public !
En fait, les pages vraiment lisibles et importantes pour nous sont les pages 11 et 12. En résumé : Lorsqu’on prévoit notre sortie de la chambre plombée, en général au bout de 48h après ingestion de la fameuse gélule, un isotopiste ou le médecin de médecine nucléaire doit préalablement vérifier notre rayonnement résiduel. Ca s’appelle le « débit de dose », et ça exprime la quantité de rayonnements ionisants qui sont émis par les particules d’iode radioactif encore présentes dans notre corps. L’iode radioactif reste en général surtout au niveau du cou (résidus thyroïdiens et glandes salivaires), mais aussi (tant qu’on n’a pas éliminé ce qu’on a encore dans les voies digestives) dans le colon et le rectum (d’où l’intérêt de prendre des laxatifs et autres accélérateurs de transit…). Pour qu’on soit autorisé à sortir, il faut que cette valeur soit inférieure à 25 µSivert/h (valeur mesurée avec un compteur Geiger positionné à 1m de notre corps). Ce qui veut dire, par rapport au tableau de la page 11, que nous sommes toujours dans la 1ère colonne de gauche ! En clair, si c'est votre cas, ça signifie que dès la sortie, pas de précautions particulières pour les visites, ni pour le travail avec les collègues, ni même avec les enfants dès qu’ils ont plus de 3 ans. Par contre, 24h de précautions par rapport au conjoint (donc pas de proximité prolongée, lit séparé, pas d’échange de sécrétions, etc), et même 48h de distance avec la conjointe enceinte et les enfants de moins de 3 ans. Donc ça relativise un peu les préconisations parfois draconiennes qu’on entend parfois… Et il faut savoir que notre débit de dose diminue rapidement encore après la sortie, avec l’élimination des résidus digestifs restants le cas échéant, et la diminution de la radioactivité émise par l’iode 131 (divisée par 2 tous les 8 jours). Ce qui veut dire qu’il faut demander son débit de dose en sortie de cure, pour pouvoir adapter en fonction de son taux réel (se reporter alors à la page 11, tableau du bas) ! |
Bonjour,
Excusez moi de déterrer ce poste, avez vous par hasard une copie de ce tableau ? impossible de retrouver le rapport.
Je suis sortie avec 41 µSivert/h et j'aurai aimé relire toutes les recommandations, trop d'information à ma sortie hier, j'ai peur d'en avoir oublié.
Merci d'avance !!
Inscrit le: 18.11.17 | Messages: 61 |
Posté le: 30. Mar 2018, 07:44
Posté le: 30. Mar 2018, 09:56
Bonjour,
Ils sont agaçants, à l’Autorite de sûreté nucléaire, à réorganiser sans arrêt leurs fichiers !
Du coup, même si les noms des documents restent les mêmes, les chemins qui mènent sont différents et les liens ne fonctionnent plus.
Pas le temps de chercher, mais si vous entrez, dans Google, « ASN » plus quelques mots faisant partie du titre du document, vous avez des chances de le retrouver ... leur site est une mine d’informations, sauf qu’il est tellement riche qu’on s’y perd facilement.
A l’occasion je leur écrirai pour demander s’ils peuvent nous fournir les URL actuelles des documents importants pour nous ici.
En attendant, un document très riche sur la radioprotection et l’imagerie médicale (il y en a plein d’autres) :
https://www.asn.fr/content/download.....192-Imagerie-medicale.pdf
Beate
Ils sont agaçants, à l’Autorite de sûreté nucléaire, à réorganiser sans arrêt leurs fichiers !
Du coup, même si les noms des documents restent les mêmes, les chemins qui mènent sont différents et les liens ne fonctionnent plus.
Pas le temps de chercher, mais si vous entrez, dans Google, « ASN » plus quelques mots faisant partie du titre du document, vous avez des chances de le retrouver ... leur site est une mine d’informations, sauf qu’il est tellement riche qu’on s’y perd facilement.
A l’occasion je leur écrirai pour demander s’ils peuvent nous fournir les URL actuelles des documents importants pour nous ici.
En attendant, un document très riche sur la radioprotection et l’imagerie médicale (il y en a plein d’autres) :
https://www.asn.fr/content/download.....192-Imagerie-medicale.pdf
Beate
Posté le: 30. Mar 2018, 10:00
J’ai aussi trouvé cette fiche de radioprotection de l’INRS, pour la sortie du traitement à l’iode 131 - elle date de 2006, je ne sais pas s’il existe des documents plus récents ?
Radioprotection : prise en charge des patients sortant d’une unité de médecine nucléaire
http://www.inrs.fr/dms/inrs/Catalog...../ED/TI-ED-4242/ed4242.pdf
Et celle-ci (beaucoup plus technique) :
Fiche technique sur l’utilisation des radionucléides - Iode 131
http://www.inrs.fr/dms/inrs/Catalog...../ED/TI-ED-4300/ed4300.pdf
Et un document plus général, et très intéressant, de l’ASN :
Les utilisations médicales des rayonnements ionisants
https://www.asn.fr/content/download.....1/file/RA2013%20Chap9.pdf
Radioprotection : prise en charge des patients sortant d’une unité de médecine nucléaire
http://www.inrs.fr/dms/inrs/Catalog...../ED/TI-ED-4242/ed4242.pdf
Et celle-ci (beaucoup plus technique) :
Fiche technique sur l’utilisation des radionucléides - Iode 131
http://www.inrs.fr/dms/inrs/Catalog...../ED/TI-ED-4300/ed4300.pdf
Et un document plus général, et très intéressant, de l’ASN :
Les utilisations médicales des rayonnements ionisants
https://www.asn.fr/content/download.....1/file/RA2013%20Chap9.pdf
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