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L’ASPARTAME – "Le tueur silencieux" ...
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Posté le: 10. Fév 2009, 12:57
L’ASPARTAME – LE TUEUR SILENCIEUX
Par Laurie Moser (traduction du Sonology News No15)
Si c'est marqué "SANS SUCRE" sur l'étiquette,
N'Y TOUCHEZ SURTOUT PAS ! ! ! ! ! !
l'ASPARTAME
Alerte aux empoisonneurs par le Faux Sucre !
CONFÉRENCE MONDIALE SUR L’ENVIRONNEMENT,
LA FONDATION DE LA SCLÉROSE EN PLAQUES ET LA FDA (Food and Drug Administration)
J’ai passé plusieurs jours lors de la Conférence Mondiale sur l’Environnement,
à donner des conférences sur l’aspartame vendu sous les marques « Nutra Sweet », « Equal » et « Spoonful ».
L’EPA (L’Agence pour l’Environnement) a annoncé dans son discours-programme,
qu’il y a une épidémie de sclérose en plaques et de lupus systémique
et qu’ils ne comprenaient pas quel microbe était responsable de ces maladies aux États-Unis.
J’ai expliqué que j’étais justement là pour donner des conférences à ce sujet.
Quand la température de l’aspartame dépasse les 86oF (29°C),
l’alcool méthylique (méthanol ou esprit de bois) contenu dans l’aspartame,
se transforme en formaldéhyde puis en acide formique qui, à son tour, cause l’acidose métabolique
(l’acide formique est le poison administré par les piqûres de fourmis rouges).
L’intoxication au méthanol reproduit les symptômes de la sclérose en plaques;
de là, des erreurs de diagnostic parmi les diagnostics de sclérose en plaques.
La sclérose en plaques n’est pas mortelle, l’intoxication au méthanol l’est.
Pour le cas du lupus systémique, ce que nous observons
c’est qu’il s’est presque autant répandu que la sclérose en plaques,
particulièrement chez les consommateurs de Coca-cola light (Diet Coke) et de Pepsi light (Diet Pepsi).
De plus dans les cas de l’intoxication au méthanol,
les victimes en boivent généralement 3 à 4 canettes de 12oz (380 ml) par jour, et certains plus encore.
Dans le cas de lupus systémique déclenché par l’aspartame,
la victime ne sait généralement pas que c’est l’aspartame le coupable.
La victime continue sa consommation, aggravant le lupus à tel point que parfois leur vie est menacée.
Quand nous éliminons l’aspartame de la consommation des patients,
les personnes souffrant de lupus deviennent généralement asymptomatiques.
Malheureusement, nous ne pouvons enrayer la maladie.
Toutefois, chez ceux chez qui on a diagnostiqué une sclérose en plaques
(alors qu’en réalité ils souffrent d’une intoxication au méthanol),
la plupart des symptômes disparaissent.
Nous avons vu des cas où leur vue et même l’ouïe se sont rétablies.
Et il en est de même pour les cas d’acouphènes.
Lors d’une conférence je déclarais : « Si vous consommez de l’aspartame (Nutra Sweet, Equal, Spoonful, etc…) et que vous souffrez de symptômes fibromyalgiques, de spasmes, de douleurs lancinantes,
d’engourdissements dans les jambes, de crampes, vertiges, nausées, maux de tête, acouphènes,
douleurs articulaires, dépressions, crise d’angoisse, discours incohérent, vision trouble, ou pertes de mémoire,
vous avez probablement la maladie de l’aspartame.
Les gens sursautaient au cours de cette conférence, disant : « C’est exactement ce que j’ai. Est-ce réversible? » Cette maladie fait des ravages.
Plusieurs des intervenants de ma conférence souffraient eux-mêmes de ces symptômes.
Dans une conférence à laquelle assistait l’Ambassadeur de l’Ouganda,
il nous a dit que dans l’industrie du sucre chez eux, on ajoute de l’aspartame !
Il a poursuivi en disant que le fils de l’un des leaders de l’industrie du sucre ne peut plus marcher
et que c’est en partie dû à l’usage de ce produit. Nous avons là un problème grave.
Un inconnu vint même trouver le Dr. Espisto (l’un de mes intervenants) et moi-même et dit :
« Pouvez-vous me dire pourquoi tant de personnes semblent avoir contracté la sclérose en plaques? ».
Lors d’une visite dans un hôpital,
une infirmière affirma que chez six de ses amis, qui sont tous de grands buveurs de coca-cola light,
on avait diagnostiqué une sclérose en plaques. Cela dépasse la coïncidence.
Il y a eu des séances au Congrès, au début,
quand l’aspartame fut introduit dans 100 produits différents comme substance sucrante.
Depuis cette séance initiale, il y a eu deux autres mais elles n’ont servi à rien.
Rien n’a été fait, les lobbies de l’industrie pharmaceutique et chimique ont le bras très long.
Maintenant il existe plus de 5 000 produits contenant cette substance chimique (…).
À l’époque de cette première audience, plusieurs personnes perdaient la vue.
Le méthanol contenu dans l’aspartame se transforme en formaldéhyde dans la rétine de l’œil.
Le formaldéhyde est classé dans le même groupe de drogues
que le cyanure et l’arsenic, poisons mortels !
Malheureusement il met plus de temps à vraiment tuer,
mais il tue des gens et cause toutes sortes de troubles neurologiques.
L’aspartame modifie la chimie du cerveau, il cause de graves attaques.
Ce produit modifie le taux de dopamine dans le cerveau.
Imaginez l’effet de cette drogue chez les patients atteints de maladie de Parkinson.
Cette drogue cause aussi des malformations congénitales.
Il n’y a absolument aucune raison de consommer ce produit. Ce n’est pas un produit diététique !
Le rapport du congrès dit :
« Ce produit crée chez le consommateur un besoin maladif d’hydrates de carbone et les fait grossir ».
Le Dr. Roberts a spécifié que lorsqu’il faisait arrêter l’aspartame à ses patients, ils perdaient en moyenne 9 kg.
Le formaldéhyde s’accumule dans les cellules graisseuses, particulièrement dans les hanches et les cuisses.
L’aspartame est particulièrement dangereux pour les diabétiques.
Tout médecin sait l’effet qu’aurait de l’alcool de bois sur un diabétique.
Nous trouvons des médecins qui croient que certains de leurs patients font de la rétinopathie,
quand en fait, c’est l’aspartame qui est en cause.
L’aspartame rend le taux de sucre dans le sang incontrôlable,
provoquant le coma chez de nombreux patients.
Malheureusement beaucoup en sont morts.
Des personnes nous disaient, lors de la Conférence de l’Ordre des Médecins Américain,
qu’ils avaient des proches qui sont passés de produits à la saccharine à des produits contenant de l’aspartame
et que certains étaient tombés dans le coma.
Leurs médecins ne pouvaient maîtriser le niveau de sucre dans leur sang.
Ainsi les patients souffraient de sévères pertes de mémoire, voire tombaient dans le coma et mouraient.
La perte de mémoire est due au fait que l’acide aspartique et la phénylalanine sont des neurotoxiques,
ils constituent des protéines (…), qui, passent la barrière sanguine du cerveau et détériorent les neurones.
Le Dr. Russell Blaylock, neurochirurgien, a déclaré :
« Ces composants stimulent le cerveau jusqu’à la mort,
provoquant dans le cerveau des dommages plus ou moins graves. »
Le Dr. R. Blaylock a écrit un livre intitulé « Excito-Toxines : Le goût qui tue» (Health Press 1-800-643-2665)
Le Dr. H.J. Roberts, diabétique, spécialiste et expert mondial de l’empoisonnement par l’aspartame,
a lui aussi écrit un livre, qui est intitulé : « Défense contre la maladie d’Alzheimer » (1-800-814-9800).
Le Dr Roberts y raconte comment l’intoxication à l’aspartame aggrave la maladie d’Alzheimer.
Comme me l’a confié l’infirmière de l’hospice,
des femmes de 30 ans sont admises avec la maladie d’Alzheimer.
Le Dr. Blaylock et le Dr. Roberts vont rédiger un article sur la situation présentant quelques cas
et le feront paraître sur Internet.
D’après la Conférence du Conseil des Médecins Américain :
« Nous parlons d’une épidémie de maladies neurologiques causé par ce poison mortel ».
Le Dr. Roberts a réalisé ce qui se passait
lorsque les premières campagnes de marketing pour promouvoir l'usage de l'aspartame ont été lancées.
Il a déclaré que ses patients diabétiques présentaient des symptômes
de pertes de mémoire, de confusions, et de graves troubles visuels.
À la conférence du Conseil des Médecins Américain, les médecins reconnurent qu’ils n’en savaient rien.
Ils se sont interrogés au sujet de l’origine de certaines crises chez leurs patients
(la phénylalanine de l’aspartame abaisse le seuil des crises et fait chuter la sérotonine,
ce qui cause des maniaco-dépressions, des crises de panique, de rage, de violence).
Juste avant la conférence j’ai reçu un fax de Norvège qui demandait un antidote à ce poison
car ils doivent faire face à tellement de problèmes dans leur pays.
Ce « poison » est maintenant disponible dans plus de 90 pays à travers le monde.
Heureusement, nous avions à la Conférence des porte-parole et des Ambassadeurs venant de diverses nations qui ont promis leur aide.
Nous vous demandons votre aide à vous aussi
Imprimez cet article, et prévenez tous ceux que vous connaissez.
Ramenez tout article contenant de l’aspartame au magasin.
Procurez-vous le test « NO ASPARTAME » et faites-nous part de votre cas.
L’A.A., l’A.P.A. et le Conseil des Médecins Américain ont été fondés.
Je vous assure que MONSANTO, créateur de l'aspartame, sait très bien
à quel point ce produit est dangereux !
Il finance l'Association Américaine des Diabétiques, l'Association Diététique Américaine,
le Congrès Américain et la Conférence du Collège Américain des Médecins.
Le 15 novembre 1996, le New York Times a publié un article montrant
que l'Association Diététique Américaine accepte de l'argent de l'industrie alimentaire
et approuve leurs produits en contrepartie.
Dès lors, ils ne sont plus en position de critiquer le moindre additif,
ou de reconnaître leurs liens avec MONSANTO.
Nous avons dit à une mère dont l’enfant consommait du « Nutra Sweet » d’arrêter ce produit.
L’enfant avait des crises graves chaque jour. La mère appela son médecin qui appela l’ADA,
qui dit au docteur de ne pas faire arrêter le « Nutra Sweet » à l’enfant.
Nous essayons toujours de convaincre la mère que c’est l’aspartame qui cause les crises.
Chaque fois qu’on lui fait arrêter l’aspartame, ses crises cessent.
Si cet enfant meurt, vous saurez qui est responsable et contre quoi nous nous battons.
Il y a 92 symptômes prouvés de l’aspartame passant par le coma et allant jusqu’à la mort.
La majeure partie d’entre eux, sont d’ordre neurologique, car l’aspartame détruit le système nerveux.
La maladie de l’aspartame est une des causes qui se cachent
derrière les problèmes de santé apparus lors de l’opération « Tempête du désert » !
La langue brûlante et autres troubles observés dans soixante cas
peuvent être directement liés à la consommation de l’aspartame.
Plusieurs milliers de palette de boissons « light » ont été acheminées aux troupes de l’opération « Tempête du désert » (souvenez-vous que la chaleur peut libérer le méthanol de l’aspartame à 86oF = 29 °C).
Les canettes de boisson « light » ont séjourné sous les 120oF du soleil arabique pendant des semaines entières sur des palettes. Les hommes et les femmes en service en buvaient toute la journée.
Tous les symptômes sont identiques à ceux de l’empoisonnement par l’aspartame.
(Souvenez-vous que, de toutes façon, notre corps est à 37 °C,
donc l’aspartame se décompose dans notre corps sous tous les climats, du plus froid au plus chaud).
Le Dr. Roberts affirme :
"consommer de l'aspartame au moment de la conception peut provoquer des malformations congénitales".
Selon le témoignage fait devant le Congrès par le Dr. Louis Elsas,
pédiatre et Professeur en génétique à la Emory University,
la phénylalanine se concentre dans le placenta, provoquant des retards mentaux.
Quand le Dr. Espisto donnait sa conférence sur l’aspartame, un médecin de l’assistance, neurochirurgien déclara : « Quand ils ont retiré les tumeurs du cerveau, ils y ont trouvé de forts taux d’aspartame. »
La Stevia, est un aliment sucrant et non pas un additif.
Il participe au métabolisme du sucre, et serait idéal pour les diabétiques.
La Stevia vient d’être approuvée comme supplément diététique par le Food and Drug Administration.
Pendant des années, la FDA a occulté cet aliment sucré au nom de sa loyauté envers Monsanto.
Si vous voyez « Sugar Free » ou « Sans Sucre » sur l’étiquette, n’y pensez même pas!
Le sénateur H M a écrit une note, une mise en garde pour tous les nouveaux-nés, femmes enceintes et enfants contre l’aspartame. Cette note aurait permis d’instituer des études indépendantes sur les problèmes observés dans la population (crises, modification de la chimie du cerveau, modification des symptômes neurologiques et comportementaux ».
Cette note a été anéantie par le puissant lobby des médicaments et produits chimiques,
laissant la porte grande ouverte aux maladies et à la mort dans un public non méfiant.
Après la Conférence de l’ACP, nous espérons obtenir le soutien de plusieurs lobbies puissants mondiaux.
S’il vous plaît, aidez-nous, vous aussi.
Il y a un nombre immense de personnes tout autour de nous qui doivent être averties,
s’il vous plaît, informez-les.
Laurie Moser, assistant director
Women’s Cancer Resource Center (Centre Ressource du Cancer pour les femmes)
1815, 41st Street East, suite C, Minneapolis, MN, USA, 554-3425 , 1-800-908-8544
L’auteure, Betty Martini peut être jointe au 770-242-2599
source web : www.gve.ch/mohr-mohr-and-more
QU’EST-CE QUE L’ASPARTAME
L’aspartame, vous connaissez ?
Cet édulcorant est l’un des plus utilisés par l’industrie agroalimentaire.
Il a été découvert en 1965 et mis sur le marché pour la première fois aux États-Unis en 1974.
En France, il a été autorisé à partir de 1981.
Or il a, dès son apparition, été accusé d’être dangereux pour la santé :
sclérose en plaques, crises d’épilepsie, tumeurs du cerveau…
Qu’en est-il exactement ?
Parce que vous vous préoccupez de votre poids,
vous pensez que les succédanés sont meilleurs que le sucre pour votre santé ?
Grave erreur…
À première vue, c’est génial : se sucrer le bec sans subir l’inconvénients des calories !
Cependant, la liste des plaintes reliées à ce succédané du sucre ne cesse de s’allonger,
particulièrement aux États-Unis, où on observe une importante consommation de produits « allégés ».
Pire, on sait maintenant que la consommation d’aspartame entraîne des effets secondaires
allant du simple mal de tête à des tumeurs au cerveau…
En effet, les statistiques américaines provenant du National Cancer Institute
révèlent une hausse alarmante du nombre de tumeurs au cerveau :
en 1983, 2,1% des cancers chez les hommes se situaient au cerveau ;
en 1987, l’incidence était passée à 8,1% pour ces messieurs, grimpant même à 11,7% chez les femmes !
En creusant la question, les chercheurs ont constaté que cette forte hausse coïncide justement avec l’apparition, en 1983, des boissons gazeuses édulcorées à l’aspartame.
Le débat pour son retrait du marché n’a pas cessé depuis.
ADDITIF OU DROGUE
L’aspartame a été découvert par hasard en 1965 au laboratoire Searle, aux États-Unis,
par un scientifique qui cherchait à mettre au point un médicament contre les ulcères.
En goûtant une pincée de sa poudre, il se serait rendu compte qu’elle avait un goût étonnamment sucré.
Cette découverte était une bénédiction pour l’industrie alimentaire,
qui cherchait une solution de rechange aux cyclamates et à la saccharine,
interdits dans les aliments par le gouvernement depuis que des études chez les animaux
ont révélé qu’ils entraînaient des cancers.
Au Canada, ces deux édulcorants sont tout de même disponibles en sachets dans les épiceries, les pharmacies et restaurants. L’aspartame a été autorisé dans les aliments secs en 1981, puis dans les boissons gazeuses en 1983.
Commercialisé sous le nom de Nutra Sweet et d’Égal,
l’aspartame est un édulcorant synthétique modifié génétiquement et composé de deux acides aminés (composants des protéines), la phénylalanine et l’acide aspartique.
Son pouvoir sucrant est 200 fois plus élevé que celui du sucrose.
Pourtant, le cheminement de l’aspartame laisse plutôt un goût amer dans la bouche.
Il a même des allures de conspiration,
puisque le Pentagone a déjà recensé l’aspartame dans un inventaire d’armes chimiques !
En fait, G.D. Searle,
comme la compagnie de produits chimiques et pharmaceutiques mentionnée précédemment,
et Monsanto, maintenant propriétaire et fabricant d’aspartame,
ont des liens tangibles avec la fabrication d’armes chimiques…
DES ÉTUDES DOUTEUSES
C’est en 1974 que l’aspartame est approuvé pour la première fois.
À la suite de deux études démontrant que cette substance cause des tumeurs chez les animaux de laboratoire, l’autorisation est abrogée
Ces études n’ont jamais été réfutées depuis.
En septembre 1980,
après délibération, un comité de la Food and Drug Administration (FDA) se prononce contre l’aspartame.
Quatre mois plus tard, G.D. Searle soumet dix nouvelles études « bidons »,
qui feront pencher la balance du côté de l’aspartame par un vote : celui du commissaire Arthur Hayes…
qui sera plus tard engagé par Searle !
Selon le Dr Adrian Gross, ancien toxicologiste de la FDA, ces études sont foutaise.
Il a noté que des décès d’animaux ont été cachés, que des tumeurs n’ont pas été rapportées et, dans certains cas, qu’elles ont même été extraites de l’animal qui, lui, a été remis dans l’étude !
En 1996, le médecin et professeur Ralph G. Walton, du collège de médecine de la North Eastern Ohio University, décide d’analyser l’ensemble des études scientifiques reliées à la consommation d’aspartame.
Ses observations parlent d’elles-mêmes :
parmi 174 études analysées, 74 étaient financées par l’industrie de l’aspartame,
100% d’entre elles concluaient qu’il n’y avait aucun problème avec ce produit !
Cependant, sur 90 études indépendantes (non financées),
83 (92%) ont plutôt relevé un ou plusieurs problèmes liés à l’usage de cet édulcorant.
L’aspartame est l’objet de controverse depuis son apparition ;
même son approbation relève d’une décision plus politique que scientifique.
Mais avec des revenus se chiffrant dans les milliards de dollars par année,
la compagnie Monsanto n’est pas prête de lâcher le morceau…
DES EFFETS SECONDAIRES TROUBLANTS
La liste des effets secondaires liés è la consommation d’aspartame est très longue.
De plus, selon la revue Headhache de novembre 1997,
des personnes particulièrement sensibles peuvent ressentir des effets avec de très faibles doses :
une gomme à mâcher, par exemple, peut causer un mal de tête !
En 1994, la FDA avait déjà accumulé près de 7 000 plaintes d’effets secondaires reliés à l’aspartame (l’organisme ne veut d’ailleurs plus archiver les plaintes).
Les plus fréquentes sont : maux de têtes (ce qui a été confirmé par plusieurs études),
vertiges, vision embrouillée, changements d’humeur, douleurs au ventre et crampes musculaires.
Aux États-Unis, des pilotes d’avion ont même perdu leur permis pour avoir manifesté ces symptômes
dans les heures suivant l‘ingestion de boissons à l’aspartame.
Des communiqués à cet effet ont d’ailleurs été émis dans les bulletins du U.S. Air Force et du U.S. Navy
afin de prévenir le personnel de ce risque.
Parmi les autres symptômes figurent les dépressions, les pertes de mémoire, les douleurs articulaires,
les troubles menstruels, les crises d’épilepsie et même quelques décès !
Et il ne s’agit là que d’une fraction des effets actuellement associés à la consommation d’aspartame,
puisque la majorité des gens n’ont pas encore fait le lien entre leurs problèmes de santé et ce produit.
Même s’ils le font, seul un léger pourcentage des gens et des professionnels de la santé
prendra le temps de faire un rapport aux autorités gouvernementales.
En 1991, le National Institute of Health a publié une bibliographie, « Adverse Effects of Aspartame », énumérant pas moins de 167 raisons d’éviter l’aspartame.
Une étude récente a également démontré que l’aspartame, tout comme le sucre, entraîne une calciurie,
c’est-à-dire une perte de calcium dans les urines.
ASPARTAME ET GAIN DE POIDS
Puisque l’aspartame contient le même nombre de calories que le sucre,
mais que son pouvoir sucrant est 200 fois plus élevé,
comment le pancréas réagit-il lorsque la langue le détecte ?
Se pourrait-il qu’il envoie une dose massive d’insuline pour contrebalancer cette sensation trompeuse ?
Est-ce que la chute de sucre qui en résulterait donnerait à nouveau le désir de manger ?
Selon le neuroscientifique Richard Wurtman,
la consommation de doses élevées d’édulcorants comme l’aspartame
provoquerait effectivement des « crises » de sucre.
L’American Cancer Society a confirmé cette ironie après avoir suivi 80 000 femmes durant six ans.
Parmi celles qui ont pris du poids durant cette période,
les femmes qui utilisaient des édulcorants artificiels en ont pris davantage
que celles qui n’en consommaient pas.
Une autre étude effectuée chez un petit groupe de femmes au régime démontre
qu’elles ont tendance à manger davantage durant les jours
qui suivent l’ingestion de boissons sucrées à l’aspartame,
comparativement à l’ingestion de boisson sucrées naturellement
(étude effectuée par J.H. Lavin et ses collaborateurs, parue en janvier 1997 dans une revue scientifique internationale sur l’obésité).
Même le simple fait de mâcher de la gomme sucrée à l’aspartame augmenterait l’appétit.
Quelques autres études, toutefois, n’ont pu démontrer ces effets.
On suppose par ailleurs que les gens qui consomment des produits allégés
auraient tendance à être moins vigilants :
un faux sentiment de sécurité pourrait les porter à manger des gâteries, ici et là,
puisqu’ils ont déjà « économisé »…
Dans toute controverse, une chose est sûre : les édulcorants comme l’aspartame entretiennent le goût du sucre et ne permettent pas de modifier ses habitudes alimentaires, seul gage d’une perte de poids durable.
DIABÉTIQUES, S’ABSTENIR
Selon le Dr H.J. Roberts, un endocrinologiste qui en a vu des « vertes et des pas mûres » avec l’aspartame,
ce substitut de sucre compliquerait le contrôle de la glycémie chez les diabétiques,
entraînant des crises plus fréquentes d’hypoglycémie et aggravant les complications diabétiques
(cataractes, rétinopathies, neuropathies, etc.).
De plus, chez un certain nombre de ses patients,
on a incorrectement diagnostiqué qu’ils étaient atteints de sclérose en plaques ;
les médecins dans l’erreur ignoraient
que l’ingestion d’aspartame sur une base régulière entraîne des symptômes semblables.
QUOI FAIRE ?
Près de 2% de la population est porteuse, sans le savoir, d’un des deux gènes qui causent la phénylcétonurie. Or, l’aspartame contient de la phénylalanine,
un acide aminé que ces personnes ne peuvent utiliser par manque d’une enzyme spécifique.
Ces gens doivent éviter tous les produits qui en contiennent, dont l’aspartame,
au risque de subir des crises d’épilepsie et des troubles mentaux sévères.
Dans le doute, évitez de consommer de l’aspartame.
Si vous souffrez d’un problème de santé persistant et que vous utilisez des produits édulcorés à l’aspartame (boissons allégées, gommes à mâcher, sachets, yogourts, etc.),
cessez complètement d’en consommer durant un mois afin de savoir si vos symptômes diminuent.
Vous devez lire attentivement les étiquettes de tous les produits que vous achetez,
car l’aspartame s’est infiltré un peu partout.
À mon avis, plus vous vous tiendrez loin de cet additif, mieux vous vous porterez.
OÙ SE CACHE-T-IL ?
En 1992, l’aspartame apparaissaient dans plus de 4 200 produits alimentaires aux Etats-Unis :
certaines marques de crème glacée, yogourts, puddings, confitures, desserts préparés, céréales à déjeuner, vinaigrettes et dîners surgelés en contiennent.
Les pires : les boissons gazeuses « allégées », les sachets de sucre Égal et la gomme à mâcher sans sucre.
Les médicaments peuvent aussi en contenir, de même que le psyllium sucré, « sans sucre »
et les suppléments de vitamines à croquer pour enfants. Surveillez les étiquettes.
L’aspartame est peu stable dans les liquides et se décompose après exposition à des températures élevées,
ce qui se produit lorsqu’on fait chauffer l’aspartame, qu’on l’ajoute à des liquides chauds (café)
ou lorsqu’il est entreposé durant de longues périodes à la température de la pièce.
La dégradation du produit entraîne, entre autres, la formation de méthanol,
qui se décompose par la suite en formaldéhyde (carcinogène connu), en acide formique et en diketopiperazine (DKP), tous responsables de tumeurs au cerveau.
RESSOURCES
Plusieurs groupes de pression, dont Mission Possible International,
tentent depuis plusieurs années de faire interdire l’aspartame, dont ils dénoncent la nocivité.
Cet organisme possède un site Internet rempli de données et de témoignages de médecins et de victimes.
http://www.dorway.com/possible.html Par Julie Brière
en passant faite un petit tour sur mon blog
merci doudoune58 http://doudoune58.over-blog.com/
Par Laurie Moser (traduction du Sonology News No15)
Si c'est marqué "SANS SUCRE" sur l'étiquette,
N'Y TOUCHEZ SURTOUT PAS ! ! ! ! ! !
l'ASPARTAME
Alerte aux empoisonneurs par le Faux Sucre !
CONFÉRENCE MONDIALE SUR L’ENVIRONNEMENT,
LA FONDATION DE LA SCLÉROSE EN PLAQUES ET LA FDA (Food and Drug Administration)
J’ai passé plusieurs jours lors de la Conférence Mondiale sur l’Environnement,
à donner des conférences sur l’aspartame vendu sous les marques « Nutra Sweet », « Equal » et « Spoonful ».
L’EPA (L’Agence pour l’Environnement) a annoncé dans son discours-programme,
qu’il y a une épidémie de sclérose en plaques et de lupus systémique
et qu’ils ne comprenaient pas quel microbe était responsable de ces maladies aux États-Unis.
J’ai expliqué que j’étais justement là pour donner des conférences à ce sujet.
Quand la température de l’aspartame dépasse les 86oF (29°C),
l’alcool méthylique (méthanol ou esprit de bois) contenu dans l’aspartame,
se transforme en formaldéhyde puis en acide formique qui, à son tour, cause l’acidose métabolique
(l’acide formique est le poison administré par les piqûres de fourmis rouges).
L’intoxication au méthanol reproduit les symptômes de la sclérose en plaques;
de là, des erreurs de diagnostic parmi les diagnostics de sclérose en plaques.
La sclérose en plaques n’est pas mortelle, l’intoxication au méthanol l’est.
Pour le cas du lupus systémique, ce que nous observons
c’est qu’il s’est presque autant répandu que la sclérose en plaques,
particulièrement chez les consommateurs de Coca-cola light (Diet Coke) et de Pepsi light (Diet Pepsi).
De plus dans les cas de l’intoxication au méthanol,
les victimes en boivent généralement 3 à 4 canettes de 12oz (380 ml) par jour, et certains plus encore.
Dans le cas de lupus systémique déclenché par l’aspartame,
la victime ne sait généralement pas que c’est l’aspartame le coupable.
La victime continue sa consommation, aggravant le lupus à tel point que parfois leur vie est menacée.
Quand nous éliminons l’aspartame de la consommation des patients,
les personnes souffrant de lupus deviennent généralement asymptomatiques.
Malheureusement, nous ne pouvons enrayer la maladie.
Toutefois, chez ceux chez qui on a diagnostiqué une sclérose en plaques
(alors qu’en réalité ils souffrent d’une intoxication au méthanol),
la plupart des symptômes disparaissent.
Nous avons vu des cas où leur vue et même l’ouïe se sont rétablies.
Et il en est de même pour les cas d’acouphènes.
Lors d’une conférence je déclarais : « Si vous consommez de l’aspartame (Nutra Sweet, Equal, Spoonful, etc…) et que vous souffrez de symptômes fibromyalgiques, de spasmes, de douleurs lancinantes,
d’engourdissements dans les jambes, de crampes, vertiges, nausées, maux de tête, acouphènes,
douleurs articulaires, dépressions, crise d’angoisse, discours incohérent, vision trouble, ou pertes de mémoire,
vous avez probablement la maladie de l’aspartame.
Les gens sursautaient au cours de cette conférence, disant : « C’est exactement ce que j’ai. Est-ce réversible? » Cette maladie fait des ravages.
Plusieurs des intervenants de ma conférence souffraient eux-mêmes de ces symptômes.
Dans une conférence à laquelle assistait l’Ambassadeur de l’Ouganda,
il nous a dit que dans l’industrie du sucre chez eux, on ajoute de l’aspartame !
Il a poursuivi en disant que le fils de l’un des leaders de l’industrie du sucre ne peut plus marcher
et que c’est en partie dû à l’usage de ce produit. Nous avons là un problème grave.
Un inconnu vint même trouver le Dr. Espisto (l’un de mes intervenants) et moi-même et dit :
« Pouvez-vous me dire pourquoi tant de personnes semblent avoir contracté la sclérose en plaques? ».
Lors d’une visite dans un hôpital,
une infirmière affirma que chez six de ses amis, qui sont tous de grands buveurs de coca-cola light,
on avait diagnostiqué une sclérose en plaques. Cela dépasse la coïncidence.
Il y a eu des séances au Congrès, au début,
quand l’aspartame fut introduit dans 100 produits différents comme substance sucrante.
Depuis cette séance initiale, il y a eu deux autres mais elles n’ont servi à rien.
Rien n’a été fait, les lobbies de l’industrie pharmaceutique et chimique ont le bras très long.
Maintenant il existe plus de 5 000 produits contenant cette substance chimique (…).
À l’époque de cette première audience, plusieurs personnes perdaient la vue.
Le méthanol contenu dans l’aspartame se transforme en formaldéhyde dans la rétine de l’œil.
Le formaldéhyde est classé dans le même groupe de drogues
que le cyanure et l’arsenic, poisons mortels !
Malheureusement il met plus de temps à vraiment tuer,
mais il tue des gens et cause toutes sortes de troubles neurologiques.
L’aspartame modifie la chimie du cerveau, il cause de graves attaques.
Ce produit modifie le taux de dopamine dans le cerveau.
Imaginez l’effet de cette drogue chez les patients atteints de maladie de Parkinson.
Cette drogue cause aussi des malformations congénitales.
Il n’y a absolument aucune raison de consommer ce produit. Ce n’est pas un produit diététique !
Le rapport du congrès dit :
« Ce produit crée chez le consommateur un besoin maladif d’hydrates de carbone et les fait grossir ».
Le Dr. Roberts a spécifié que lorsqu’il faisait arrêter l’aspartame à ses patients, ils perdaient en moyenne 9 kg.
Le formaldéhyde s’accumule dans les cellules graisseuses, particulièrement dans les hanches et les cuisses.
L’aspartame est particulièrement dangereux pour les diabétiques.
Tout médecin sait l’effet qu’aurait de l’alcool de bois sur un diabétique.
Nous trouvons des médecins qui croient que certains de leurs patients font de la rétinopathie,
quand en fait, c’est l’aspartame qui est en cause.
L’aspartame rend le taux de sucre dans le sang incontrôlable,
provoquant le coma chez de nombreux patients.
Malheureusement beaucoup en sont morts.
Des personnes nous disaient, lors de la Conférence de l’Ordre des Médecins Américain,
qu’ils avaient des proches qui sont passés de produits à la saccharine à des produits contenant de l’aspartame
et que certains étaient tombés dans le coma.
Leurs médecins ne pouvaient maîtriser le niveau de sucre dans leur sang.
Ainsi les patients souffraient de sévères pertes de mémoire, voire tombaient dans le coma et mouraient.
La perte de mémoire est due au fait que l’acide aspartique et la phénylalanine sont des neurotoxiques,
ils constituent des protéines (…), qui, passent la barrière sanguine du cerveau et détériorent les neurones.
Le Dr. Russell Blaylock, neurochirurgien, a déclaré :
« Ces composants stimulent le cerveau jusqu’à la mort,
provoquant dans le cerveau des dommages plus ou moins graves. »
Le Dr. R. Blaylock a écrit un livre intitulé « Excito-Toxines : Le goût qui tue» (Health Press 1-800-643-2665)
Le Dr. H.J. Roberts, diabétique, spécialiste et expert mondial de l’empoisonnement par l’aspartame,
a lui aussi écrit un livre, qui est intitulé : « Défense contre la maladie d’Alzheimer » (1-800-814-9800).
Le Dr Roberts y raconte comment l’intoxication à l’aspartame aggrave la maladie d’Alzheimer.
Comme me l’a confié l’infirmière de l’hospice,
des femmes de 30 ans sont admises avec la maladie d’Alzheimer.
Le Dr. Blaylock et le Dr. Roberts vont rédiger un article sur la situation présentant quelques cas
et le feront paraître sur Internet.
D’après la Conférence du Conseil des Médecins Américain :
« Nous parlons d’une épidémie de maladies neurologiques causé par ce poison mortel ».
Le Dr. Roberts a réalisé ce qui se passait
lorsque les premières campagnes de marketing pour promouvoir l'usage de l'aspartame ont été lancées.
Il a déclaré que ses patients diabétiques présentaient des symptômes
de pertes de mémoire, de confusions, et de graves troubles visuels.
À la conférence du Conseil des Médecins Américain, les médecins reconnurent qu’ils n’en savaient rien.
Ils se sont interrogés au sujet de l’origine de certaines crises chez leurs patients
(la phénylalanine de l’aspartame abaisse le seuil des crises et fait chuter la sérotonine,
ce qui cause des maniaco-dépressions, des crises de panique, de rage, de violence).
Juste avant la conférence j’ai reçu un fax de Norvège qui demandait un antidote à ce poison
car ils doivent faire face à tellement de problèmes dans leur pays.
Ce « poison » est maintenant disponible dans plus de 90 pays à travers le monde.
Heureusement, nous avions à la Conférence des porte-parole et des Ambassadeurs venant de diverses nations qui ont promis leur aide.
Nous vous demandons votre aide à vous aussi
Imprimez cet article, et prévenez tous ceux que vous connaissez.
Ramenez tout article contenant de l’aspartame au magasin.
Procurez-vous le test « NO ASPARTAME » et faites-nous part de votre cas.
L’A.A., l’A.P.A. et le Conseil des Médecins Américain ont été fondés.
Je vous assure que MONSANTO, créateur de l'aspartame, sait très bien
à quel point ce produit est dangereux !
Il finance l'Association Américaine des Diabétiques, l'Association Diététique Américaine,
le Congrès Américain et la Conférence du Collège Américain des Médecins.
Le 15 novembre 1996, le New York Times a publié un article montrant
que l'Association Diététique Américaine accepte de l'argent de l'industrie alimentaire
et approuve leurs produits en contrepartie.
Dès lors, ils ne sont plus en position de critiquer le moindre additif,
ou de reconnaître leurs liens avec MONSANTO.
Nous avons dit à une mère dont l’enfant consommait du « Nutra Sweet » d’arrêter ce produit.
L’enfant avait des crises graves chaque jour. La mère appela son médecin qui appela l’ADA,
qui dit au docteur de ne pas faire arrêter le « Nutra Sweet » à l’enfant.
Nous essayons toujours de convaincre la mère que c’est l’aspartame qui cause les crises.
Chaque fois qu’on lui fait arrêter l’aspartame, ses crises cessent.
Si cet enfant meurt, vous saurez qui est responsable et contre quoi nous nous battons.
Il y a 92 symptômes prouvés de l’aspartame passant par le coma et allant jusqu’à la mort.
La majeure partie d’entre eux, sont d’ordre neurologique, car l’aspartame détruit le système nerveux.
La maladie de l’aspartame est une des causes qui se cachent
derrière les problèmes de santé apparus lors de l’opération « Tempête du désert » !
La langue brûlante et autres troubles observés dans soixante cas
peuvent être directement liés à la consommation de l’aspartame.
Plusieurs milliers de palette de boissons « light » ont été acheminées aux troupes de l’opération « Tempête du désert » (souvenez-vous que la chaleur peut libérer le méthanol de l’aspartame à 86oF = 29 °C).
Les canettes de boisson « light » ont séjourné sous les 120oF du soleil arabique pendant des semaines entières sur des palettes. Les hommes et les femmes en service en buvaient toute la journée.
Tous les symptômes sont identiques à ceux de l’empoisonnement par l’aspartame.
(Souvenez-vous que, de toutes façon, notre corps est à 37 °C,
donc l’aspartame se décompose dans notre corps sous tous les climats, du plus froid au plus chaud).
Le Dr. Roberts affirme :
"consommer de l'aspartame au moment de la conception peut provoquer des malformations congénitales".
Selon le témoignage fait devant le Congrès par le Dr. Louis Elsas,
pédiatre et Professeur en génétique à la Emory University,
la phénylalanine se concentre dans le placenta, provoquant des retards mentaux.
Quand le Dr. Espisto donnait sa conférence sur l’aspartame, un médecin de l’assistance, neurochirurgien déclara : « Quand ils ont retiré les tumeurs du cerveau, ils y ont trouvé de forts taux d’aspartame. »
La Stevia, est un aliment sucrant et non pas un additif.
Il participe au métabolisme du sucre, et serait idéal pour les diabétiques.
La Stevia vient d’être approuvée comme supplément diététique par le Food and Drug Administration.
Pendant des années, la FDA a occulté cet aliment sucré au nom de sa loyauté envers Monsanto.
Si vous voyez « Sugar Free » ou « Sans Sucre » sur l’étiquette, n’y pensez même pas!
Le sénateur H M a écrit une note, une mise en garde pour tous les nouveaux-nés, femmes enceintes et enfants contre l’aspartame. Cette note aurait permis d’instituer des études indépendantes sur les problèmes observés dans la population (crises, modification de la chimie du cerveau, modification des symptômes neurologiques et comportementaux ».
Cette note a été anéantie par le puissant lobby des médicaments et produits chimiques,
laissant la porte grande ouverte aux maladies et à la mort dans un public non méfiant.
Après la Conférence de l’ACP, nous espérons obtenir le soutien de plusieurs lobbies puissants mondiaux.
S’il vous plaît, aidez-nous, vous aussi.
Il y a un nombre immense de personnes tout autour de nous qui doivent être averties,
s’il vous plaît, informez-les.
Laurie Moser, assistant director
Women’s Cancer Resource Center (Centre Ressource du Cancer pour les femmes)
1815, 41st Street East, suite C, Minneapolis, MN, USA, 554-3425 , 1-800-908-8544
L’auteure, Betty Martini peut être jointe au 770-242-2599
source web : www.gve.ch/mohr-mohr-and-more
QU’EST-CE QUE L’ASPARTAME
L’aspartame, vous connaissez ?
Cet édulcorant est l’un des plus utilisés par l’industrie agroalimentaire.
Il a été découvert en 1965 et mis sur le marché pour la première fois aux États-Unis en 1974.
En France, il a été autorisé à partir de 1981.
Or il a, dès son apparition, été accusé d’être dangereux pour la santé :
sclérose en plaques, crises d’épilepsie, tumeurs du cerveau…
Qu’en est-il exactement ?
Parce que vous vous préoccupez de votre poids,
vous pensez que les succédanés sont meilleurs que le sucre pour votre santé ?
Grave erreur…
À première vue, c’est génial : se sucrer le bec sans subir l’inconvénients des calories !
Cependant, la liste des plaintes reliées à ce succédané du sucre ne cesse de s’allonger,
particulièrement aux États-Unis, où on observe une importante consommation de produits « allégés ».
Pire, on sait maintenant que la consommation d’aspartame entraîne des effets secondaires
allant du simple mal de tête à des tumeurs au cerveau…
En effet, les statistiques américaines provenant du National Cancer Institute
révèlent une hausse alarmante du nombre de tumeurs au cerveau :
en 1983, 2,1% des cancers chez les hommes se situaient au cerveau ;
en 1987, l’incidence était passée à 8,1% pour ces messieurs, grimpant même à 11,7% chez les femmes !
En creusant la question, les chercheurs ont constaté que cette forte hausse coïncide justement avec l’apparition, en 1983, des boissons gazeuses édulcorées à l’aspartame.
Le débat pour son retrait du marché n’a pas cessé depuis.
ADDITIF OU DROGUE
L’aspartame a été découvert par hasard en 1965 au laboratoire Searle, aux États-Unis,
par un scientifique qui cherchait à mettre au point un médicament contre les ulcères.
En goûtant une pincée de sa poudre, il se serait rendu compte qu’elle avait un goût étonnamment sucré.
Cette découverte était une bénédiction pour l’industrie alimentaire,
qui cherchait une solution de rechange aux cyclamates et à la saccharine,
interdits dans les aliments par le gouvernement depuis que des études chez les animaux
ont révélé qu’ils entraînaient des cancers.
Au Canada, ces deux édulcorants sont tout de même disponibles en sachets dans les épiceries, les pharmacies et restaurants. L’aspartame a été autorisé dans les aliments secs en 1981, puis dans les boissons gazeuses en 1983.
Commercialisé sous le nom de Nutra Sweet et d’Égal,
l’aspartame est un édulcorant synthétique modifié génétiquement et composé de deux acides aminés (composants des protéines), la phénylalanine et l’acide aspartique.
Son pouvoir sucrant est 200 fois plus élevé que celui du sucrose.
Pourtant, le cheminement de l’aspartame laisse plutôt un goût amer dans la bouche.
Il a même des allures de conspiration,
puisque le Pentagone a déjà recensé l’aspartame dans un inventaire d’armes chimiques !
En fait, G.D. Searle,
comme la compagnie de produits chimiques et pharmaceutiques mentionnée précédemment,
et Monsanto, maintenant propriétaire et fabricant d’aspartame,
ont des liens tangibles avec la fabrication d’armes chimiques…
DES ÉTUDES DOUTEUSES
C’est en 1974 que l’aspartame est approuvé pour la première fois.
À la suite de deux études démontrant que cette substance cause des tumeurs chez les animaux de laboratoire, l’autorisation est abrogée
Ces études n’ont jamais été réfutées depuis.
En septembre 1980,
après délibération, un comité de la Food and Drug Administration (FDA) se prononce contre l’aspartame.
Quatre mois plus tard, G.D. Searle soumet dix nouvelles études « bidons »,
qui feront pencher la balance du côté de l’aspartame par un vote : celui du commissaire Arthur Hayes…
qui sera plus tard engagé par Searle !
Selon le Dr Adrian Gross, ancien toxicologiste de la FDA, ces études sont foutaise.
Il a noté que des décès d’animaux ont été cachés, que des tumeurs n’ont pas été rapportées et, dans certains cas, qu’elles ont même été extraites de l’animal qui, lui, a été remis dans l’étude !
En 1996, le médecin et professeur Ralph G. Walton, du collège de médecine de la North Eastern Ohio University, décide d’analyser l’ensemble des études scientifiques reliées à la consommation d’aspartame.
Ses observations parlent d’elles-mêmes :
parmi 174 études analysées, 74 étaient financées par l’industrie de l’aspartame,
100% d’entre elles concluaient qu’il n’y avait aucun problème avec ce produit !
Cependant, sur 90 études indépendantes (non financées),
83 (92%) ont plutôt relevé un ou plusieurs problèmes liés à l’usage de cet édulcorant.
L’aspartame est l’objet de controverse depuis son apparition ;
même son approbation relève d’une décision plus politique que scientifique.
Mais avec des revenus se chiffrant dans les milliards de dollars par année,
la compagnie Monsanto n’est pas prête de lâcher le morceau…
DES EFFETS SECONDAIRES TROUBLANTS
La liste des effets secondaires liés è la consommation d’aspartame est très longue.
De plus, selon la revue Headhache de novembre 1997,
des personnes particulièrement sensibles peuvent ressentir des effets avec de très faibles doses :
une gomme à mâcher, par exemple, peut causer un mal de tête !
En 1994, la FDA avait déjà accumulé près de 7 000 plaintes d’effets secondaires reliés à l’aspartame (l’organisme ne veut d’ailleurs plus archiver les plaintes).
Les plus fréquentes sont : maux de têtes (ce qui a été confirmé par plusieurs études),
vertiges, vision embrouillée, changements d’humeur, douleurs au ventre et crampes musculaires.
Aux États-Unis, des pilotes d’avion ont même perdu leur permis pour avoir manifesté ces symptômes
dans les heures suivant l‘ingestion de boissons à l’aspartame.
Des communiqués à cet effet ont d’ailleurs été émis dans les bulletins du U.S. Air Force et du U.S. Navy
afin de prévenir le personnel de ce risque.
Parmi les autres symptômes figurent les dépressions, les pertes de mémoire, les douleurs articulaires,
les troubles menstruels, les crises d’épilepsie et même quelques décès !
Et il ne s’agit là que d’une fraction des effets actuellement associés à la consommation d’aspartame,
puisque la majorité des gens n’ont pas encore fait le lien entre leurs problèmes de santé et ce produit.
Même s’ils le font, seul un léger pourcentage des gens et des professionnels de la santé
prendra le temps de faire un rapport aux autorités gouvernementales.
En 1991, le National Institute of Health a publié une bibliographie, « Adverse Effects of Aspartame », énumérant pas moins de 167 raisons d’éviter l’aspartame.
Une étude récente a également démontré que l’aspartame, tout comme le sucre, entraîne une calciurie,
c’est-à-dire une perte de calcium dans les urines.
ASPARTAME ET GAIN DE POIDS
Puisque l’aspartame contient le même nombre de calories que le sucre,
mais que son pouvoir sucrant est 200 fois plus élevé,
comment le pancréas réagit-il lorsque la langue le détecte ?
Se pourrait-il qu’il envoie une dose massive d’insuline pour contrebalancer cette sensation trompeuse ?
Est-ce que la chute de sucre qui en résulterait donnerait à nouveau le désir de manger ?
Selon le neuroscientifique Richard Wurtman,
la consommation de doses élevées d’édulcorants comme l’aspartame
provoquerait effectivement des « crises » de sucre.
L’American Cancer Society a confirmé cette ironie après avoir suivi 80 000 femmes durant six ans.
Parmi celles qui ont pris du poids durant cette période,
les femmes qui utilisaient des édulcorants artificiels en ont pris davantage
que celles qui n’en consommaient pas.
Une autre étude effectuée chez un petit groupe de femmes au régime démontre
qu’elles ont tendance à manger davantage durant les jours
qui suivent l’ingestion de boissons sucrées à l’aspartame,
comparativement à l’ingestion de boisson sucrées naturellement
(étude effectuée par J.H. Lavin et ses collaborateurs, parue en janvier 1997 dans une revue scientifique internationale sur l’obésité).
Même le simple fait de mâcher de la gomme sucrée à l’aspartame augmenterait l’appétit.
Quelques autres études, toutefois, n’ont pu démontrer ces effets.
On suppose par ailleurs que les gens qui consomment des produits allégés
auraient tendance à être moins vigilants :
un faux sentiment de sécurité pourrait les porter à manger des gâteries, ici et là,
puisqu’ils ont déjà « économisé »…
Dans toute controverse, une chose est sûre : les édulcorants comme l’aspartame entretiennent le goût du sucre et ne permettent pas de modifier ses habitudes alimentaires, seul gage d’une perte de poids durable.
DIABÉTIQUES, S’ABSTENIR
Selon le Dr H.J. Roberts, un endocrinologiste qui en a vu des « vertes et des pas mûres » avec l’aspartame,
ce substitut de sucre compliquerait le contrôle de la glycémie chez les diabétiques,
entraînant des crises plus fréquentes d’hypoglycémie et aggravant les complications diabétiques
(cataractes, rétinopathies, neuropathies, etc.).
De plus, chez un certain nombre de ses patients,
on a incorrectement diagnostiqué qu’ils étaient atteints de sclérose en plaques ;
les médecins dans l’erreur ignoraient
que l’ingestion d’aspartame sur une base régulière entraîne des symptômes semblables.
QUOI FAIRE ?
Près de 2% de la population est porteuse, sans le savoir, d’un des deux gènes qui causent la phénylcétonurie. Or, l’aspartame contient de la phénylalanine,
un acide aminé que ces personnes ne peuvent utiliser par manque d’une enzyme spécifique.
Ces gens doivent éviter tous les produits qui en contiennent, dont l’aspartame,
au risque de subir des crises d’épilepsie et des troubles mentaux sévères.
Dans le doute, évitez de consommer de l’aspartame.
Si vous souffrez d’un problème de santé persistant et que vous utilisez des produits édulcorés à l’aspartame (boissons allégées, gommes à mâcher, sachets, yogourts, etc.),
cessez complètement d’en consommer durant un mois afin de savoir si vos symptômes diminuent.
Vous devez lire attentivement les étiquettes de tous les produits que vous achetez,
car l’aspartame s’est infiltré un peu partout.
À mon avis, plus vous vous tiendrez loin de cet additif, mieux vous vous porterez.
OÙ SE CACHE-T-IL ?
En 1992, l’aspartame apparaissaient dans plus de 4 200 produits alimentaires aux Etats-Unis :
certaines marques de crème glacée, yogourts, puddings, confitures, desserts préparés, céréales à déjeuner, vinaigrettes et dîners surgelés en contiennent.
Les pires : les boissons gazeuses « allégées », les sachets de sucre Égal et la gomme à mâcher sans sucre.
Les médicaments peuvent aussi en contenir, de même que le psyllium sucré, « sans sucre »
et les suppléments de vitamines à croquer pour enfants. Surveillez les étiquettes.
L’aspartame est peu stable dans les liquides et se décompose après exposition à des températures élevées,
ce qui se produit lorsqu’on fait chauffer l’aspartame, qu’on l’ajoute à des liquides chauds (café)
ou lorsqu’il est entreposé durant de longues périodes à la température de la pièce.
La dégradation du produit entraîne, entre autres, la formation de méthanol,
qui se décompose par la suite en formaldéhyde (carcinogène connu), en acide formique et en diketopiperazine (DKP), tous responsables de tumeurs au cerveau.
RESSOURCES
Plusieurs groupes de pression, dont Mission Possible International,
tentent depuis plusieurs années de faire interdire l’aspartame, dont ils dénoncent la nocivité.
Cet organisme possède un site Internet rempli de données et de témoignages de médecins et de victimes.
http://www.dorway.com/possible.html Par Julie Brière
en passant faite un petit tour sur mon blog
merci doudoune58 http://doudoune58.over-blog.com/
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Poids et thyroïde : mon parcours depuis deux ans et demi
Inscrit le: 03.05.04 | Messages: 2700 |
Posté le: 10. Fév 2009, 13:42
houloulou Doudoune tu es remontée toi
Perso, j'ai fait le choix de stopper le sucre, car je trouvais que j'étais de plus en plus comme une droguée du sucre
Au bout de 10 jorus de sevrage tout est allé beaucoup mieux :p
Bien sur je ne suis pas complètement extrêmiste donc j'en prends le matin au petit déjeuner sous forme de miel, sirop d'érable ou confiture ou agave.. et quand j'en ai envie
Mais franchement depuis le sevrage lol
Bein mes envies ont disparu. Le sucre ne me fait plus envie et le café c'est toujorus sans sucre
bisoussssssssssssssssssss
Perso, j'ai fait le choix de stopper le sucre, car je trouvais que j'étais de plus en plus comme une droguée du sucre
Au bout de 10 jorus de sevrage tout est allé beaucoup mieux :p
Bien sur je ne suis pas complètement extrêmiste donc j'en prends le matin au petit déjeuner sous forme de miel, sirop d'érable ou confiture ou agave.. et quand j'en ai envie
Mais franchement depuis le sevrage lol
Bein mes envies ont disparu. Le sucre ne me fait plus envie et le café c'est toujorus sans sucre
bisoussssssssssssssssssss
Posté le: 10. Fév 2009, 15:23
Coucou Doudoune,
il est certainement vrai que l'aspartame n'est pas bon pour la santé ... mais le style un peu trop "alarmiste" de l'article me parait peu scientifique, et je ne sais pas si le site sur lequel il a été publié est vraiment digne de confiance (il s'agit d'un site qui fait la promotion d'une enzyme soi-disant "miraculeuse", le Glutathion, or je me méfie un peu de tout ce qui est annoncé comme "miraculeux" : http://www.glutathion.ca/aspartame.html )
Pas facile de trouver ce qui est vrai et ce qui est faux dans la polémique qui entoure l'aspartame, car cela soulève pas mal de passions ...
Quelques liens :
http://www.pharmacorama.com/ezine/a.....me_risque_cancerigene.php
Article en français sur l'étude italienne de Ramazzini : http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/20050715.OBS3567/
Un site qui a l'air intéressant, à première vue, avec des articles très complets, et qui se dit indépendant, mais dont je n'arrive pas à découvrir QUI le gère, ce qui me rend un peu méfiante : http://www.danger-sante.org/category/produits-light/
Apparemment, les autorités (AFSSA etc), elles, auraient "blanchi" l'Aspartame : http://www.lalibre.be/index.php?view=article&art_id=374491 et aussi cette interview : http://www.lanutrition.fr/Mostafa-O.....-du-cerveau-a-216-74.html
Site de l'AFSSA (on peut ensuite lancer une recherche) : www.afssa.fr/
Un article qui liste les différentes études à ce sujet, et parle de la polémique (et qui arrive à la conclusion que les accusations contre l'aspartame seraient de la "désinformation") :
http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article1013
Difficile de vraiment se faire un avis, hein ? Qui dit vrai, tout cela est-il seulement l'oeuvre des "lobbies" ?
Mais "dans le doûte", personnellement je me dis que RIEN ne m'oblige à en consommer, de l'aspartame ... d'autant plus qu'apparemment, remplacer le sucre par l'aspartame ne fait même pas maigrir, au contraire : http://www.web-libre.org/dossiers/aspartame-grossir,5551.html
Autant utiliser des produits dénués de risque ... pas tellement le sucre blanc (surtout si on a des soucis de diabète), mais (un peu) de sucre brun, ou du miel, ou des sucres genre fructose, sirop d'agave, sirop d'érable, stevia ... (même si là aussi, il y a des sacrées controverses, on ne sait vraiment plus à quel saint se vouer ... la stévia, par exemple, a fait l'objet d'un avis défavorable de l'AFSSA : http://www.novethic.fr/novethic/v3/article.jsp?id=115426 )
Il doit y avoir énormement de pressions de toute part, car "Le marché mondial des édulcorants représente au niveau mondial « un milliard d’euros de chiffre d’affaires, 250 millions € en Europe »" ...
En tout cas, je pense que le "naturel" est préférable au "tout chimique" ... et que le plus important, c'est la MODERATION ...
Bon courage à tous !
Beate
il est certainement vrai que l'aspartame n'est pas bon pour la santé ... mais le style un peu trop "alarmiste" de l'article me parait peu scientifique, et je ne sais pas si le site sur lequel il a été publié est vraiment digne de confiance (il s'agit d'un site qui fait la promotion d'une enzyme soi-disant "miraculeuse", le Glutathion, or je me méfie un peu de tout ce qui est annoncé comme "miraculeux" : http://www.glutathion.ca/aspartame.html )
Pas facile de trouver ce qui est vrai et ce qui est faux dans la polémique qui entoure l'aspartame, car cela soulève pas mal de passions ...
Quelques liens :
http://www.pharmacorama.com/ezine/a.....me_risque_cancerigene.php
Citation: |
L'aspartame est un dipeptide (acide aspartique-phénylalanine) édulcorant environ 200 fois plus actif que le saccharose (en anglais sucrose) et très largement utilisé.
Un article de Environmental Health Perspectives, M. Soffritti 2005, First Experimental Demonstration of the Multipotential Carcinogenic Effects of Aspartame Administered in the Feed to Sprague-Dawley Rats, qui a fait l'objet d'un commentaire dans Nature, Aspartame linked to increased cancer risk in rats, arrive à la conclusion, au terme d'une expérimentation prolongée menée chez le rat, que l'aspartame aurait un effet cancérigène. Ce résultat est controversé mais mérite réflexion. |
Article en français sur l'étude italienne de Ramazzini : http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/20050715.OBS3567/
Un site qui a l'air intéressant, à première vue, avec des articles très complets, et qui se dit indépendant, mais dont je n'arrive pas à découvrir QUI le gère, ce qui me rend un peu méfiante : http://www.danger-sante.org/category/produits-light/
Apparemment, les autorités (AFSSA etc), elles, auraient "blanchi" l'Aspartame : http://www.lalibre.be/index.php?view=article&art_id=374491 et aussi cette interview : http://www.lanutrition.fr/Mostafa-O.....-du-cerveau-a-216-74.html
Site de l'AFSSA (on peut ensuite lancer une recherche) : www.afssa.fr/
Un article qui liste les différentes études à ce sujet, et parle de la polémique (et qui arrive à la conclusion que les accusations contre l'aspartame seraient de la "désinformation") :
http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article1013
Difficile de vraiment se faire un avis, hein ? Qui dit vrai, tout cela est-il seulement l'oeuvre des "lobbies" ?
Mais "dans le doûte", personnellement je me dis que RIEN ne m'oblige à en consommer, de l'aspartame ... d'autant plus qu'apparemment, remplacer le sucre par l'aspartame ne fait même pas maigrir, au contraire : http://www.web-libre.org/dossiers/aspartame-grossir,5551.html
Autant utiliser des produits dénués de risque ... pas tellement le sucre blanc (surtout si on a des soucis de diabète), mais (un peu) de sucre brun, ou du miel, ou des sucres genre fructose, sirop d'agave, sirop d'érable, stevia ... (même si là aussi, il y a des sacrées controverses, on ne sait vraiment plus à quel saint se vouer ... la stévia, par exemple, a fait l'objet d'un avis défavorable de l'AFSSA : http://www.novethic.fr/novethic/v3/article.jsp?id=115426 )
Il doit y avoir énormement de pressions de toute part, car "Le marché mondial des édulcorants représente au niveau mondial « un milliard d’euros de chiffre d’affaires, 250 millions € en Europe »" ...
En tout cas, je pense que le "naturel" est préférable au "tout chimique" ... et que le plus important, c'est la MODERATION ...
Bon courage à tous !
Beate
| Cancer papillaire | Montréal |
Posté le: 10. Fév 2009, 16:57
L'aspartame
Édulcorant artificiel hypocalorique, l'aspartame peut être utilisé comme additif alimentaire au Canada depuis 1981 dans de nombreux aliments, y compris les boissons gazeuses, les desserts, les céréales de petit déjeuner et la gomme à mâcher. Il est aussi disponible comme édulcorant de table. L'aspartame est le produit de la liaison de l'acide aspartique et de la phénylalanine, acides aminés qui sont des éléments constituants normaux des protéines. Ils forment un dipeptide qui est ensuite estérifié avec du méthanol.
Au Canada, les additifs alimentaires comme l'aspartame sont assujettis à des contrôles rigoureux en vertu de la Loi sur les aliments et drogues et de son règlement d'application. Avant qu'on autorise l'utilisation d'un additif alimentaire, les fabricants doivent présenter une demande à Santé Canada conformément à l'article B.16.002 du Règlement. Une demande doit contenir des renseignements détaillés, y compris les résultats d'épreuves d'innocuité, ainsi que des renseignements sur l'utilité de l'additif en question et les avantages qu'il peut offrir aux consommateurs.
Avant d'envisager d'autoriser l'utilisation de l'aspartame dans les aliments au Canada, des représentants de Santé Canada ont évalué un éventail détaillé d'épreuves toxicologiques auxquelles on avait soumis des animaux de laboratoire. Depuis que l'utilisation en est autorisée, ils ont analysé les résultats de nombreuses études cliniques effectuées sur des sujets humains. Rien n'indique que la consommation d'aliments contenant cet édulcorant, conformément aux dispositions du Règlement sur les aliments et drogues et dans le contexte d'une alimentation équilibrée, poserait un danger pour la santé des consommateurs. D'autres organismes consultatifs scientifiques comme le Comité scientifique de l'alimentation humaine de la Communauté européenne et le Comité mixte d'experts des additifs alimentaires (CMEAA) de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture et de l'Organisation mondiale de la santé ont passé en revue toutes les études d'innocuité disponibles et constaté que l'aspartame est sans danger. Plus de 90 pays, dont les États-Unis1, des pays de l'Union européenne2, ainsi que l'Australie et la Nouvelle-Zélande3, ont aussi étudié l'aspartame et l'ont jugé sans danger pour la consommation humaine. Ils en autorisent l'utilisation dans divers aliments.
Même si la plupart des personnes en bonne santé peuvent consommer de l'aspartame sans danger, on reconnaît depuis longtemps que l'absorption excessive de phénylalanine, un des acides aminés constituants de l'aspartame, peut poser un danger pour les personnes qui sont atteintes de phénylcétonurie, trouble héréditaire du métabolisme. C'est pourquoi les étiquettes de tous les aliments contenant de l'aspartame doivent indiquer la présence de la phénylalanine.
Les scientifiques de la Direction des aliments de Santé Canada ont fixé à 40 milligrammes/ kilogramme de poids corporel/jour la dose journalière admissible (DJA). Cette DJA est reconnue sur la scène internationale et c'est la même que celle qu'a établie le Comité mixte d'experts des additifs alimentaires (CMEAA) de l'Organisation pour l'alimentation et l'agriculture et de l'Organisation mondiale de la santé (FAO/OMS).
Dans le contexte d'un programme de surveillance postcommercialisation, on a réalisé en 1987 une étude pour vérifier la consommation réelle d'aspartame au Canada. Cette étude à laquelle ont participé 5 200 ménages canadiens et 7 500 personnes a démontré que la consommation réelle d'aspartame était très inférieure à la DJA recommandée, même au cours de la période la plus chaude de l'année pendant laquelle on s'attend à ce que la consommation de boissons gazeuses soit élevée. De plus, des études de suivi réalisées sur des sujets humains ont révélé qu'on n'a observé aucun effet indésirable même lorsque les sujets en question étaient exposés à des doses plus élevées que la DJA établie. On s'attendrait à ce que les doses d'aspartame soient même encore plus faibles maintenant, étant donné qu'on a approuvé l'utilisation d'autres édulcorants à forte intensité comme l'acesulfame-K et le sucralose qui font concurrence à l'aspartame sur le marché.
Même si des décennies de recherches scientifiques témoignent de l'innocuité de l'aspartame, des allégations négatives sur son innocuité paraissent dans les médias et sur Internet depuis des années. Certaines des allégations les plus répandues et les faits scientifiques qui les réfutent suivent.
Allégation : Le méthanol contenu dans l'aspartame est toxique et relié à de nombreux problèmes de santé, y compris le lupus et la cécité. Il produit aussi des effets semblables à ceux de la sclérose en plaques.
Sans fondement.
Même s'il s'agit d'un sous-produit de la digestion de l'aspartame, le méthanol n'est pas étranger à l'alimentation humaine. La pectine contenue dans de nombreux aliments courants, y compris les fruits et les légumes et leurs jus, contient de faibles concentrations de méthanol et de substances métabolisées en méthanol. Une tasse de jus de tomates produirait environ six fois plus de méthanol qu'une tasse de boisson gazeuse contenant de l'aspartame. Le méthanol alimentaire, qu'il provienne de l'aspartame ou d'aliments courants, est présent à des concentrations trop faibles pour causer des problèmes de santé. Il ne s'accumule pas dans le corps, mais il est plutôt métabolisé, par les voies du métabolisme normal, en formaldéhyde d'abord, ensuite en acide formique et finalement en eau et en gaz carbonique.
Comme la Société canadienne de la sclérose en plaques l'a affirmé dans une note de mise à jour sur la médecine disponible sur son site Web à l'adresse http://www.mssociety.ca/fr/recherche/PC990122.htm, il n'y a pas de recherches publiées et critiquées par des pairs qui appuient l'existence d'un lien entre l'aspartame et la sclérose en plaques. Il n'existe en outre aucune preuve d'« épidémie « de SP.
Allégation : L'aspartame est particulièrement dangereux pour les diabétiques.
Sans fondement.
Lorsque Santé canada a procédé à l'évaluation de l'innocuité de l'aspartame, on a tenu compte de populations sensibles possibles comme les diabétiques. Des études réalisées avant et après l'approbation de l'aspartame ont montré que les diabétiques peuvent l'utiliser sans danger.
Une revue des études disponibles sur l'aspartame et le contrôle de la glycémie est disponible dans une publication récente. (The Clinical Evaluation of a Food Additive: Assessment of Aspartame. 1996. Révisé par C. Tschanz et al. CRC Press). Les auteurs ont conclu que dans cinq études bien menées, l'ajout d'aspartame à l'alimentation d'une personne diabétique, en dose unique ou pendant une période prolongée, n'a eu aucun effet sur le contrôle de la glycémie. En outre, il n'y a eu aucun effet sur les paramètres indicateurs d'une contre-régulation de l'insuline.
Allégation : L'aspartame cause le cancer et des tumeurs au cerveau.
Sans fondement.
À la suite d'une revue des études sur l'innocuité de l'aspartame, des scientifiques des milieux scientifiques mondiaux, y compris du Canada, n'ont trouvé aucun lien entre la consommation d'aspartame et l'incidence de cancers ou de tumeurs au cerveau.
Allégation : L'aspartame cause des attaques.
Sans fondement.
Les études cliniques réalisées par des chercheurs médicaux ont montré qu'il n'y a aucun lien entre la consommation d'aspartame et les attaques.
On a procédé à une étude sur des enfants et des adultes qui affirmaient avoir été victimes d'attaques provoquées par l'aspartame. On leur a administré un placebo certains jours, et une dose unique importante d'aspartame d'autres jours. Le contrôle EEG de leurs signaux cérébraux a démontré que l'aspartame n'était pas plus susceptible de causer des attaques qu'un placebo.
Une autre étude réalisée sur des enfants qui avaient des antécédents médicaux d'attaque ont montré que l'aspartame ne provoquait pas d'attaque chez ces sujets vulnérables ou ne les aggravait pas.
Allégation : L'aspartame provoque des réactions allergiques.
Sans fondement.
L'étude de déclarations de personnes qui affirmaient avoir eu des réactions allergiques à l'aspartame n'a pas démontré l'existence d'un lien entre l'aspartame et les réactions allergiques.
fait en 2005
1.Voir 21 CFR 172.804, U.S. Code of Federal Regulations.
2.Voir la Directive 94/35/CE du Parlement européen et du Conseil du 30 juin 1994 concernant les édulcorants destinés à être employés dans les denrées alimentaires.
3.Voir Standard A8, Australia-New Zealand Food Authority.
et en voici un autre
source exteno.org
Ce site est reconnu comme donnant les informations indépendantes et justes.Il est tenu par un endocrinoloque reconnu mondialement Dr Dominique Garrel,ses nutritionnistes et est fait à l'université de Montréal.Centre de la nutrition et recherche
Peu probable
Selon une récente revue de littérature portant sur les risques de développer un cancer en consommant différents édulcorants, les risques reliés à une consommation modérée d’aspartame seraient inexistants.
Mieux connu sous les noms commerciaux Égal et NutraSweet, l’aspartame provient de la combinaison de deux acides aminés (constituants normaux des protéines), soit l’acide aspartique et la phénylalanine. Cet édulcorant a été mis en marché au Canada en 1981, après avoir répondu aux exigences de la Loi sur les aliments et drogues et du Règlement d’application de Santé Canada. Il est maintenant ajouté à plusieurs boissons dites « diètes » ainsi qu’à plusieurs aliments portant l’allégation « léger » ou « sans gras ».
Y a-t-il des risques à consommer de l’aspartame?
Depuis sa mise en marché, Santé Canada analyse régulièrement les résultats de nombreuses études cliniques effectuées sur des sujets humains et portant sur la consommation d’aspartame et ses risques potentiels sur la santé. La Direction des aliments de Santé Canada a donc fixé une dose journalière admissible (DJA), correspondant à la quantité totale qu'une personne pourrait ingérer quotidiennement, durant toute sa vie, sans effet nuisible. La dose a été fixée à 40 mg d’aspartame/kg de poids corporel/jour, équivalant, en moyenne, à 10 canettes/jour de boissons gazeuses sucrées uniquement à l’aspartame, étant donné que plusieurs produits, maintenant, contiennent un mélange d’édulcorants. Cela rend le calcul de la dose journalière admissible encore plus difficile.
Le 5 mai 2006, l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a publié un rapport confirmant l’utilisation sécuritaire de l’aspartame à des doses modérées. Ce rapport conclue que « sur la base de toutes les preuves actuellement disponibles, il n'y a pas lieu de continuer à réévaluer l'innocuité de l'aspartame, ni d'en revoir la dose journalière permise ». Ces conclusions supportent l’évaluation initiale des scientifiques de Santé Canada concernant l’aspartame.
L’aspartame est dangereuse seulement pour les personnes souffrant de phénylcétonurie, un trouble héréditaire du métabolisme ne permettant pas d’éliminer la phénylalanine de l’organisme, d’où son accumulation dans le sang des personnes souffrant de cette maladie.
Pourquoi s’inquiète-t-on?
Lorsqu’on consomme une boisson ou un aliment sucré à l’aspartame, la phénylalanine se transforme en méthanol, sous-produit souvent pointé du doigt pour sa toxicité dans l’organisme, puis en formaldéhyde et, finalement, en formate. C’est pourquoi de nombreux consommateurs s’inquiètent des impacts de la consommation d’aspartame sur les risques de développer un cancer. Cependant, il faudrait être exposé à une très forte concentration de méthanol, et ce, pendant une longue période de temps pour qu’il y ait un risque pour la santé. Par-dessus tout, sachez que le formaldéhyde est rapidement éliminé de notre système. C’est pourquoi il est quasi impossible d’atteindre une concentration qui représenterait un risque pour la santé.
Les études sur des animaux
Quelques études menées auprès de rongeurs ont indiqué des effets néfastes sur la santé de ces animaux mais, dans bien des cas, la quantité d’aspartame administrée était de l’ordre de 4 à 5 fois la dose journalière admissible pour l’humain (soit l’équivalent de l’aspartame contenu dans 40 à 50 canettes ingérées quotidiennement).
Une étude effectuée sur des rats en 2005 a relevé une augmentation des risques de cancers avec l’administration de doses d’aspartame comparables à celles consommées par l’homme. Dans cette étude, les chercheurs ont administré 7 différentes doses allant de 0 à 5 000 mg d’aspartame/kg de poids corporel/jour pendant toute la vie de 1 800 rats. Les résultats ont montré que le nombre de cas de lymphome et de leucémie était plus élevé chez les rats femelles (pas les mâles) ayant reçu des doses de 20 à 5 000 mg d’aspartame/kg de poids corporel/jour. Cependant, avant de s’alarmer, on devrait prendre quelques points importants en considération.
Cette étude a été faite auprès d’animaux et les résultats ne peuvent pas être directement transposés à l’humain, car ce dernier possède un métabolisme fort différent, plus raffiné et plus complexe que celui des rongeurs.
Les animaux de cette étude ont consommé, tous les jours de leur vie, une dose précise d’aspartame. Une condition bien difficile à reproduire dans la vraie vie!
Conclusion
Consommés à l’occasion et en quantité raisonnable, les produits « diètes » contenant de l’aspartame ne semblent pas dangereux pour la santé. Cependant, il serait peut-être bon d’évaluer notre consommation quotidienne d’édulcorants étant donné que de plus en plus d’aliments en contiennent.
Enfin, ces aliments ne devraient pas faire partie de notre alimentation habituelle car, en plus d’entretenir notre goût pour les aliments sucrés, ils fournissent souvent peu d’éléments nutritifs. Adoptez plutôt de bonnes habitudes alimentaires et faites de l’exercice régulièrement. Ainsi, vous n’aurez pas à vous déculpabiliser en consommant des produits « diètes » qui entraînent, plus souvent qu’autrement, une surconsommation!
Dernière mise à jour : 9 juillet 2008
Édulcorant artificiel hypocalorique, l'aspartame peut être utilisé comme additif alimentaire au Canada depuis 1981 dans de nombreux aliments, y compris les boissons gazeuses, les desserts, les céréales de petit déjeuner et la gomme à mâcher. Il est aussi disponible comme édulcorant de table. L'aspartame est le produit de la liaison de l'acide aspartique et de la phénylalanine, acides aminés qui sont des éléments constituants normaux des protéines. Ils forment un dipeptide qui est ensuite estérifié avec du méthanol.
Au Canada, les additifs alimentaires comme l'aspartame sont assujettis à des contrôles rigoureux en vertu de la Loi sur les aliments et drogues et de son règlement d'application. Avant qu'on autorise l'utilisation d'un additif alimentaire, les fabricants doivent présenter une demande à Santé Canada conformément à l'article B.16.002 du Règlement. Une demande doit contenir des renseignements détaillés, y compris les résultats d'épreuves d'innocuité, ainsi que des renseignements sur l'utilité de l'additif en question et les avantages qu'il peut offrir aux consommateurs.
Avant d'envisager d'autoriser l'utilisation de l'aspartame dans les aliments au Canada, des représentants de Santé Canada ont évalué un éventail détaillé d'épreuves toxicologiques auxquelles on avait soumis des animaux de laboratoire. Depuis que l'utilisation en est autorisée, ils ont analysé les résultats de nombreuses études cliniques effectuées sur des sujets humains. Rien n'indique que la consommation d'aliments contenant cet édulcorant, conformément aux dispositions du Règlement sur les aliments et drogues et dans le contexte d'une alimentation équilibrée, poserait un danger pour la santé des consommateurs. D'autres organismes consultatifs scientifiques comme le Comité scientifique de l'alimentation humaine de la Communauté européenne et le Comité mixte d'experts des additifs alimentaires (CMEAA) de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture et de l'Organisation mondiale de la santé ont passé en revue toutes les études d'innocuité disponibles et constaté que l'aspartame est sans danger. Plus de 90 pays, dont les États-Unis1, des pays de l'Union européenne2, ainsi que l'Australie et la Nouvelle-Zélande3, ont aussi étudié l'aspartame et l'ont jugé sans danger pour la consommation humaine. Ils en autorisent l'utilisation dans divers aliments.
Même si la plupart des personnes en bonne santé peuvent consommer de l'aspartame sans danger, on reconnaît depuis longtemps que l'absorption excessive de phénylalanine, un des acides aminés constituants de l'aspartame, peut poser un danger pour les personnes qui sont atteintes de phénylcétonurie, trouble héréditaire du métabolisme. C'est pourquoi les étiquettes de tous les aliments contenant de l'aspartame doivent indiquer la présence de la phénylalanine.
Les scientifiques de la Direction des aliments de Santé Canada ont fixé à 40 milligrammes/ kilogramme de poids corporel/jour la dose journalière admissible (DJA). Cette DJA est reconnue sur la scène internationale et c'est la même que celle qu'a établie le Comité mixte d'experts des additifs alimentaires (CMEAA) de l'Organisation pour l'alimentation et l'agriculture et de l'Organisation mondiale de la santé (FAO/OMS).
Dans le contexte d'un programme de surveillance postcommercialisation, on a réalisé en 1987 une étude pour vérifier la consommation réelle d'aspartame au Canada. Cette étude à laquelle ont participé 5 200 ménages canadiens et 7 500 personnes a démontré que la consommation réelle d'aspartame était très inférieure à la DJA recommandée, même au cours de la période la plus chaude de l'année pendant laquelle on s'attend à ce que la consommation de boissons gazeuses soit élevée. De plus, des études de suivi réalisées sur des sujets humains ont révélé qu'on n'a observé aucun effet indésirable même lorsque les sujets en question étaient exposés à des doses plus élevées que la DJA établie. On s'attendrait à ce que les doses d'aspartame soient même encore plus faibles maintenant, étant donné qu'on a approuvé l'utilisation d'autres édulcorants à forte intensité comme l'acesulfame-K et le sucralose qui font concurrence à l'aspartame sur le marché.
Même si des décennies de recherches scientifiques témoignent de l'innocuité de l'aspartame, des allégations négatives sur son innocuité paraissent dans les médias et sur Internet depuis des années. Certaines des allégations les plus répandues et les faits scientifiques qui les réfutent suivent.
Allégation : Le méthanol contenu dans l'aspartame est toxique et relié à de nombreux problèmes de santé, y compris le lupus et la cécité. Il produit aussi des effets semblables à ceux de la sclérose en plaques.
Sans fondement.
Même s'il s'agit d'un sous-produit de la digestion de l'aspartame, le méthanol n'est pas étranger à l'alimentation humaine. La pectine contenue dans de nombreux aliments courants, y compris les fruits et les légumes et leurs jus, contient de faibles concentrations de méthanol et de substances métabolisées en méthanol. Une tasse de jus de tomates produirait environ six fois plus de méthanol qu'une tasse de boisson gazeuse contenant de l'aspartame. Le méthanol alimentaire, qu'il provienne de l'aspartame ou d'aliments courants, est présent à des concentrations trop faibles pour causer des problèmes de santé. Il ne s'accumule pas dans le corps, mais il est plutôt métabolisé, par les voies du métabolisme normal, en formaldéhyde d'abord, ensuite en acide formique et finalement en eau et en gaz carbonique.
Comme la Société canadienne de la sclérose en plaques l'a affirmé dans une note de mise à jour sur la médecine disponible sur son site Web à l'adresse http://www.mssociety.ca/fr/recherche/PC990122.htm, il n'y a pas de recherches publiées et critiquées par des pairs qui appuient l'existence d'un lien entre l'aspartame et la sclérose en plaques. Il n'existe en outre aucune preuve d'« épidémie « de SP.
Allégation : L'aspartame est particulièrement dangereux pour les diabétiques.
Sans fondement.
Lorsque Santé canada a procédé à l'évaluation de l'innocuité de l'aspartame, on a tenu compte de populations sensibles possibles comme les diabétiques. Des études réalisées avant et après l'approbation de l'aspartame ont montré que les diabétiques peuvent l'utiliser sans danger.
Une revue des études disponibles sur l'aspartame et le contrôle de la glycémie est disponible dans une publication récente. (The Clinical Evaluation of a Food Additive: Assessment of Aspartame. 1996. Révisé par C. Tschanz et al. CRC Press). Les auteurs ont conclu que dans cinq études bien menées, l'ajout d'aspartame à l'alimentation d'une personne diabétique, en dose unique ou pendant une période prolongée, n'a eu aucun effet sur le contrôle de la glycémie. En outre, il n'y a eu aucun effet sur les paramètres indicateurs d'une contre-régulation de l'insuline.
Allégation : L'aspartame cause le cancer et des tumeurs au cerveau.
Sans fondement.
À la suite d'une revue des études sur l'innocuité de l'aspartame, des scientifiques des milieux scientifiques mondiaux, y compris du Canada, n'ont trouvé aucun lien entre la consommation d'aspartame et l'incidence de cancers ou de tumeurs au cerveau.
Allégation : L'aspartame cause des attaques.
Sans fondement.
Les études cliniques réalisées par des chercheurs médicaux ont montré qu'il n'y a aucun lien entre la consommation d'aspartame et les attaques.
On a procédé à une étude sur des enfants et des adultes qui affirmaient avoir été victimes d'attaques provoquées par l'aspartame. On leur a administré un placebo certains jours, et une dose unique importante d'aspartame d'autres jours. Le contrôle EEG de leurs signaux cérébraux a démontré que l'aspartame n'était pas plus susceptible de causer des attaques qu'un placebo.
Une autre étude réalisée sur des enfants qui avaient des antécédents médicaux d'attaque ont montré que l'aspartame ne provoquait pas d'attaque chez ces sujets vulnérables ou ne les aggravait pas.
Allégation : L'aspartame provoque des réactions allergiques.
Sans fondement.
L'étude de déclarations de personnes qui affirmaient avoir eu des réactions allergiques à l'aspartame n'a pas démontré l'existence d'un lien entre l'aspartame et les réactions allergiques.
fait en 2005
1.Voir 21 CFR 172.804, U.S. Code of Federal Regulations.
2.Voir la Directive 94/35/CE du Parlement européen et du Conseil du 30 juin 1994 concernant les édulcorants destinés à être employés dans les denrées alimentaires.
3.Voir Standard A8, Australia-New Zealand Food Authority.
et en voici un autre
source exteno.org
Ce site est reconnu comme donnant les informations indépendantes et justes.Il est tenu par un endocrinoloque reconnu mondialement Dr Dominique Garrel,ses nutritionnistes et est fait à l'université de Montréal.Centre de la nutrition et recherche
Peu probable
Selon une récente revue de littérature portant sur les risques de développer un cancer en consommant différents édulcorants, les risques reliés à une consommation modérée d’aspartame seraient inexistants.
Mieux connu sous les noms commerciaux Égal et NutraSweet, l’aspartame provient de la combinaison de deux acides aminés (constituants normaux des protéines), soit l’acide aspartique et la phénylalanine. Cet édulcorant a été mis en marché au Canada en 1981, après avoir répondu aux exigences de la Loi sur les aliments et drogues et du Règlement d’application de Santé Canada. Il est maintenant ajouté à plusieurs boissons dites « diètes » ainsi qu’à plusieurs aliments portant l’allégation « léger » ou « sans gras ».
Y a-t-il des risques à consommer de l’aspartame?
Depuis sa mise en marché, Santé Canada analyse régulièrement les résultats de nombreuses études cliniques effectuées sur des sujets humains et portant sur la consommation d’aspartame et ses risques potentiels sur la santé. La Direction des aliments de Santé Canada a donc fixé une dose journalière admissible (DJA), correspondant à la quantité totale qu'une personne pourrait ingérer quotidiennement, durant toute sa vie, sans effet nuisible. La dose a été fixée à 40 mg d’aspartame/kg de poids corporel/jour, équivalant, en moyenne, à 10 canettes/jour de boissons gazeuses sucrées uniquement à l’aspartame, étant donné que plusieurs produits, maintenant, contiennent un mélange d’édulcorants. Cela rend le calcul de la dose journalière admissible encore plus difficile.
Le 5 mai 2006, l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a publié un rapport confirmant l’utilisation sécuritaire de l’aspartame à des doses modérées. Ce rapport conclue que « sur la base de toutes les preuves actuellement disponibles, il n'y a pas lieu de continuer à réévaluer l'innocuité de l'aspartame, ni d'en revoir la dose journalière permise ». Ces conclusions supportent l’évaluation initiale des scientifiques de Santé Canada concernant l’aspartame.
L’aspartame est dangereuse seulement pour les personnes souffrant de phénylcétonurie, un trouble héréditaire du métabolisme ne permettant pas d’éliminer la phénylalanine de l’organisme, d’où son accumulation dans le sang des personnes souffrant de cette maladie.
Pourquoi s’inquiète-t-on?
Lorsqu’on consomme une boisson ou un aliment sucré à l’aspartame, la phénylalanine se transforme en méthanol, sous-produit souvent pointé du doigt pour sa toxicité dans l’organisme, puis en formaldéhyde et, finalement, en formate. C’est pourquoi de nombreux consommateurs s’inquiètent des impacts de la consommation d’aspartame sur les risques de développer un cancer. Cependant, il faudrait être exposé à une très forte concentration de méthanol, et ce, pendant une longue période de temps pour qu’il y ait un risque pour la santé. Par-dessus tout, sachez que le formaldéhyde est rapidement éliminé de notre système. C’est pourquoi il est quasi impossible d’atteindre une concentration qui représenterait un risque pour la santé.
Les études sur des animaux
Quelques études menées auprès de rongeurs ont indiqué des effets néfastes sur la santé de ces animaux mais, dans bien des cas, la quantité d’aspartame administrée était de l’ordre de 4 à 5 fois la dose journalière admissible pour l’humain (soit l’équivalent de l’aspartame contenu dans 40 à 50 canettes ingérées quotidiennement).
Une étude effectuée sur des rats en 2005 a relevé une augmentation des risques de cancers avec l’administration de doses d’aspartame comparables à celles consommées par l’homme. Dans cette étude, les chercheurs ont administré 7 différentes doses allant de 0 à 5 000 mg d’aspartame/kg de poids corporel/jour pendant toute la vie de 1 800 rats. Les résultats ont montré que le nombre de cas de lymphome et de leucémie était plus élevé chez les rats femelles (pas les mâles) ayant reçu des doses de 20 à 5 000 mg d’aspartame/kg de poids corporel/jour. Cependant, avant de s’alarmer, on devrait prendre quelques points importants en considération.
Cette étude a été faite auprès d’animaux et les résultats ne peuvent pas être directement transposés à l’humain, car ce dernier possède un métabolisme fort différent, plus raffiné et plus complexe que celui des rongeurs.
Les animaux de cette étude ont consommé, tous les jours de leur vie, une dose précise d’aspartame. Une condition bien difficile à reproduire dans la vraie vie!
Conclusion
Consommés à l’occasion et en quantité raisonnable, les produits « diètes » contenant de l’aspartame ne semblent pas dangereux pour la santé. Cependant, il serait peut-être bon d’évaluer notre consommation quotidienne d’édulcorants étant donné que de plus en plus d’aliments en contiennent.
Enfin, ces aliments ne devraient pas faire partie de notre alimentation habituelle car, en plus d’entretenir notre goût pour les aliments sucrés, ils fournissent souvent peu d’éléments nutritifs. Adoptez plutôt de bonnes habitudes alimentaires et faites de l’exercice régulièrement. Ainsi, vous n’aurez pas à vous déculpabiliser en consommant des produits « diètes » qui entraînent, plus souvent qu’autrement, une surconsommation!
Dernière mise à jour : 9 juillet 2008
Inscrit le: 03.05.05 | Messages: 9574 | Hypothyroïdie | Limoges | | 50+
Posté le: 10. Fév 2009, 18:16
Bonjour les filles,
Pour ma part c vite réglé... le goût de l'aspartame me ferait vomir... comme en plus c autant de calories ke le vrai sucre... j'en vois po l'intérêt...
En plus (et ça c scientifik) ça donne encore plus envie de sucre (le pancréas reçoit l'info 'goût sucré' mais po la matière à traiter... donc il réclame)... donc c koi l'avantage d'en consommer?
Donc ke ce soit dangereux ou non je préfère le vrai sucre... surtout ke je suis des gens ki se font sermonner de ne po en consommer assez. Et oui, la totale suppression n'est pas bonne... en quantité raisonnable le corps en a besoin... Maxi pour une femme 11 morceaux de sucre (ajouté... tout confondu... boissons et desserts) par jour... Ca fait 100g en gros... Perso je suis à 30g maxi... les jours de folie!!!!
Pour ma part c vite réglé... le goût de l'aspartame me ferait vomir... comme en plus c autant de calories ke le vrai sucre... j'en vois po l'intérêt...
En plus (et ça c scientifik) ça donne encore plus envie de sucre (le pancréas reçoit l'info 'goût sucré' mais po la matière à traiter... donc il réclame)... donc c koi l'avantage d'en consommer?
Donc ke ce soit dangereux ou non je préfère le vrai sucre... surtout ke je suis des gens ki se font sermonner de ne po en consommer assez. Et oui, la totale suppression n'est pas bonne... en quantité raisonnable le corps en a besoin... Maxi pour une femme 11 morceaux de sucre (ajouté... tout confondu... boissons et desserts) par jour... Ca fait 100g en gros... Perso je suis à 30g maxi... les jours de folie!!!!
_________________
Pour vivre en paix avec son corps il faut le comprendre...
La vie est courte mais belle alors CARPE DIEM
Mon témoignage
Lévothyrox 125 + Cynomel 12.5
Inscrit le: 04.05.05 | Messages: 2977 | Hashimoto | Haute-Savoie | | 50+
Posté le: 10. Fév 2009, 18:23
Bonjour,
en pédiatrie à l'hôpital, les médecins et diététicienne m'ont bien préciser qu'il ne faut pas utiliser d'édulcorant pour les enfants de moins de 3 ans, même à faible dose. C'était lors de l'hospitalisation de Sylvestre pour son diabète.
Bon, moi je pense qu'il n'y a pas de fumée sans feu, donc il faut utiliser ces produits avec prudence. Mon fils mange quelques yaourts avec édulcorant, mais le restant c'est sans sucre ajouté et sans édulcorant.
Apparement on a pas assez de recul par rapport à la consommation d'édulcorant et je crois qu'en France, il n'y a pas eu trop de travaux sur cette question.
Bonne soirée
en pédiatrie à l'hôpital, les médecins et diététicienne m'ont bien préciser qu'il ne faut pas utiliser d'édulcorant pour les enfants de moins de 3 ans, même à faible dose. C'était lors de l'hospitalisation de Sylvestre pour son diabète.
Bon, moi je pense qu'il n'y a pas de fumée sans feu, donc il faut utiliser ces produits avec prudence. Mon fils mange quelques yaourts avec édulcorant, mais le restant c'est sans sucre ajouté et sans édulcorant.
Apparement on a pas assez de recul par rapport à la consommation d'édulcorant et je crois qu'en France, il n'y a pas eu trop de travaux sur cette question.
Bonne soirée
Inscrit le: 03.05.05 | Messages: 9574 | Hypothyroïdie | Limoges | | 50+
Posté le: 10. Fév 2009, 18:40
Salut Lucile,
Ca recoupe ce ke je sais (par une copine diabétik et mon endo ki est aussi diabéto)...
Ma copine (ki a plus de 40 ans) s'est toujours entendu dire de privilégier le sans sucre... Manant à l'âge k'elle a son habitude de la gestion de son diabète lui permet même de manger EXCEPTIONNELLEMENT des desserts maison. C elle ki m'a appris le l'aspartame déclenche une envie de sucre...
Et mon endo fait de même avec ses diabétik, sauf les cas extrèmes...
Ca recoupe ce ke je sais (par une copine diabétik et mon endo ki est aussi diabéto)...
Ma copine (ki a plus de 40 ans) s'est toujours entendu dire de privilégier le sans sucre... Manant à l'âge k'elle a son habitude de la gestion de son diabète lui permet même de manger EXCEPTIONNELLEMENT des desserts maison. C elle ki m'a appris le l'aspartame déclenche une envie de sucre...
Et mon endo fait de même avec ses diabétik, sauf les cas extrèmes...
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Pour vivre en paix avec son corps il faut le comprendre...
La vie est courte mais belle alors CARPE DIEM
Mon témoignage
Lévothyrox 125 + Cynomel 12.5
Posté le: 10. Fév 2009, 18:48
Coucou Caranell,
tu es sure de ca, qu'il faudrait "100 grammes de sucre par jour, pour une femme" ? Ca me semble ENORME ???
Alors qu'on dit de plus en plus que les gens consomment TROP de sucre, que cela ne cause pas seulement le diabète, mais favoriserait aussi le cancer, etc ?
Bien sûr que le corps a besoin de "sucre", pour avoir de l'énergie ... mais pas forcément sous forme de sucre blanc tout bête (sucre rapide), puisqu'il transforme aussi lui-même les sucres lents ?
Ce qui différencie les sucres lents des sucres rapides, c'est leur indice glycémique, et d'après ce que je sais, mieux vaut privilégier tout ce qui a un indice glycémique bas ? SAUF dans certaines situations, où il faut de l'énergie immédiatement, par exemple lors d'une épreuve sportive ... mais sinon, mieux vaut éviter les aliments à indice glycémique élevée, qui produiront des grands "pics" d'insuline, suivis de coups de pompe ?
Vaste sujet ...
Quelques articles intéressants là-dessus :
http://www.restonsenforme.com/20080.....cre-rapide-et-sucre-lent/
http://www.diabete-abd.be/il%20index%20glycemique.htm
http://www.diabetes.ca/files/GlycemicIndexFrench_08_FINAL.pdf
Des tableaux intéressants sur ce site, qui montre que le taux de glucides d'un aliment n'est pas forcément correlé à son indice glycémique :
http://www.fabriceproudhon.com/supe.....t_de_la_charge_glycemique
Je me suis récemment acheté tout un livre là-dessus, qui traite de comment éviter, et traiter, le diabète (puisqu'il y a ca dans ma famille, et que j'ai récemment eu une glycémie un peu limite, faudrait que je recontrôle ca ...), c'est très intéressant (notamment de savoir que selon le mode de préparation, l'indice glycémique d'un aliment peut changer, par exemple pour la pomme de terre : cuite au four ou en frites, elle a un IG plus élevée qu'à la vapeur, et les patates douces ont un IG plus bas que la pomme de terre "non sucrée", étonnant, hein ?)
Ben, voilà, vaste sujet ...
Bon courage à tous !
Beate
tu es sure de ca, qu'il faudrait "100 grammes de sucre par jour, pour une femme" ? Ca me semble ENORME ???
Alors qu'on dit de plus en plus que les gens consomment TROP de sucre, que cela ne cause pas seulement le diabète, mais favoriserait aussi le cancer, etc ?
Bien sûr que le corps a besoin de "sucre", pour avoir de l'énergie ... mais pas forcément sous forme de sucre blanc tout bête (sucre rapide), puisqu'il transforme aussi lui-même les sucres lents ?
Ce qui différencie les sucres lents des sucres rapides, c'est leur indice glycémique, et d'après ce que je sais, mieux vaut privilégier tout ce qui a un indice glycémique bas ? SAUF dans certaines situations, où il faut de l'énergie immédiatement, par exemple lors d'une épreuve sportive ... mais sinon, mieux vaut éviter les aliments à indice glycémique élevée, qui produiront des grands "pics" d'insuline, suivis de coups de pompe ?
Vaste sujet ...
Quelques articles intéressants là-dessus :
http://www.restonsenforme.com/20080.....cre-rapide-et-sucre-lent/
http://www.diabete-abd.be/il%20index%20glycemique.htm
http://www.diabetes.ca/files/GlycemicIndexFrench_08_FINAL.pdf
Des tableaux intéressants sur ce site, qui montre que le taux de glucides d'un aliment n'est pas forcément correlé à son indice glycémique :
http://www.fabriceproudhon.com/supe.....t_de_la_charge_glycemique
Je me suis récemment acheté tout un livre là-dessus, qui traite de comment éviter, et traiter, le diabète (puisqu'il y a ca dans ma famille, et que j'ai récemment eu une glycémie un peu limite, faudrait que je recontrôle ca ...), c'est très intéressant (notamment de savoir que selon le mode de préparation, l'indice glycémique d'un aliment peut changer, par exemple pour la pomme de terre : cuite au four ou en frites, elle a un IG plus élevée qu'à la vapeur, et les patates douces ont un IG plus bas que la pomme de terre "non sucrée", étonnant, hein ?)
Ben, voilà, vaste sujet ...
Bon courage à tous !
Beate
Inscrit le: 03.05.05 | Messages: 9574 | Hypothyroïdie | Limoges | | 50+
Posté le: 10. Fév 2009, 18:58
Beate a écrit: |
tu es sure de ca, qu'il faudrait "100 grammes de sucre par jour, pour une femme" ? Ca me semble ENORME ??? |
J'ai po dit FAUDRAIT mais MAXI... Oui c énorme mais les gens ki boivent du soda les avale en 3 ou 4 grands verres... Si on réfléchit bien c vite arrivé pour les becs sucrés (1 verre de soda et 4 ou 5 bonbons avec un dessert par repas et un sucre par boisson chaude et c dépassé à mon avis).
Citation: |
Alors qu'on dit de plus en plus que les gens consomment TROP de sucre, que cela ne cause pas seulement le diabète, mais favoriserait aussi le cancer, etc ? |
Paske beaucoup de gens consomment ce ke je viens de décrire...
Citation: |
Bien sûr que le corps a besoin de "sucre", pour avoir de l'énergie ... mais pas forcément sous forme de sucre blanc tout bête (sucre rapide), puisqu'il transforme aussi lui-même les sucres lents ? |
Le sucre rapide est INDISPENSABLE au fonctionnement rénal...
Citation: |
Ce qui différencie les sucres lents des sucres rapides, c'est leur indice glycémique, et d'après ce que je sais, mieux vaut privilégier tout ce qui a un indice glycémique bas ? |
Oui les sucres lents doivent être majoritaires... mais il ne faut po non plus rejeter (et diaboliser) les sucres rapides... Zéro sucre rapide c aussi mauvais ke zéro graisses (là c les os et les muscles ki peinent)
Citation: |
SAUF dans certaines situations, où il faut de l'énergie immédiatement, par exemple lors d'une épreuve sportive ... mais sinon, mieux vaut éviter les aliments à indice glycémique élevée, qui produiront des grands "pics" d'insuline, suivis de coups de pompe ? |
Oui c l'ingestion massive ki doit être exceptionnelle... mais zéro aussi... c une kestion d'équilibre...
Citation: |
Ben, voilà, vaste sujet ... |
Oui vaste... moi je sais juste ke j'ai droit à des remontrances souvent à cause de ma mini conso (si je bois po un thé entre les repas je suis à 10g par jour... je consomme rarement des boissons sucrées, de desserts et de sucreries...)...
Bisous
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La vie est courte mais belle alors CARPE DIEM
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Lévothyrox 125 + Cynomel 12.5
Posté le: 10. Fév 2009, 19:02
Coucou
à ma connaissance 11 morceaux de sucre ça fait 55 grammes (5gr par morceau de sucre), pas 100 grammes!
à ma connaissance 11 morceaux de sucre ça fait 55 grammes (5gr par morceau de sucre), pas 100 grammes!
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Wynnie
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Inscrit le: 04.05.05 | Messages: 2977 | Hashimoto | Haute-Savoie | | 50+
Posté le: 10. Fév 2009, 19:08
Coucou Beate,
c'est certain que les indices glycémiques des aliments c'est très compliqué. La carotte crueà un indice glycémique bas à très bas. La carotte cuite c'est l'inverse, indice glycémique très élevé.
Les pâtes et le riz qui sont trop cuits deviennent ainsi des sucres rapides.
L'indice glycémique souligne la façon dont l'aliment est absorber par a parois intestinal. Donc plus l'indice gllycémisue est bas et plus le sucre passe lentement et longtemps dans le sang. Indice glycémique élevé, comme le saccharose, le sucre passe rès vite, mais ça ne dure pas longtemps.
100 grammes de sucre par jour pour une femme, mais c'est énorme !!!! D'autant que de nouvelles études viennent de mettre en évidence une corrélation entre la consommation de sucre et la fréquence du cancer du sein ...
Quand on parle de sucre rapide on ne parle pas forcément de saccharose. Donc faut prendre en compte le fructose des fruits et toutes les OSES qu'on trouve dans les aliments...
Bonne soirée
c'est certain que les indices glycémiques des aliments c'est très compliqué. La carotte crueà un indice glycémique bas à très bas. La carotte cuite c'est l'inverse, indice glycémique très élevé.
Les pâtes et le riz qui sont trop cuits deviennent ainsi des sucres rapides.
L'indice glycémique souligne la façon dont l'aliment est absorber par a parois intestinal. Donc plus l'indice gllycémisue est bas et plus le sucre passe lentement et longtemps dans le sang. Indice glycémique élevé, comme le saccharose, le sucre passe rès vite, mais ça ne dure pas longtemps.
100 grammes de sucre par jour pour une femme, mais c'est énorme !!!! D'autant que de nouvelles études viennent de mettre en évidence une corrélation entre la consommation de sucre et la fréquence du cancer du sein ...
Quand on parle de sucre rapide on ne parle pas forcément de saccharose. Donc faut prendre en compte le fructose des fruits et toutes les OSES qu'on trouve dans les aliments...
Bonne soirée
Dernière édition par luciole74 le 10. Fév 2009, 22:39; édité 1 fois
Inscrit le: 04.05.05 | Messages: 2977 | Hashimoto | Haute-Savoie | | 50+
Posté le: 10. Fév 2009, 19:09
Inscrit le: 03.05.05 | Messages: 9574 | Hypothyroïdie | Limoges | | 50+
Posté le: 10. Fév 2009, 22:25
wynnie a écrit: |
Coucou
à ma connaissance 11 morceaux de sucre ça fait 55 grammes (5gr par morceau de sucre), pas 100 grammes! |
Le morceau de sucre moyen c entre 7 et 10g... Et je parlais bien d'un MAXI... (si vite arrivé et même dépassé si on regarde tout ce ki en contient ki est consommé massivement)...
La conso 'idéale' pour l'équilibre rénal est de 30 à 40g de sucre AJOUTE (le sucre naturel des fruits compte po vraiment dans cet équilibre)... donc comme le dit Lucile c bien TOUTES les doses... En sachant ke cet équilibre rénal est lié à un rapport sucre et sel (j'ai appris ça kan ma mère soignais une amie ki dialisée)... J'ai plus en tête le fonctionnement précis mais je sais ke plus on mange salé plus on a 'besoin' de sucre pour permettre aux reins d'équilibrer... et de même plus on mange de sucre plus on a besoin de sel (en fait c une histoire de rapport entre les deux... ils s'équilibrent mutuellement... c l'augmentation du sel dans l'alimentation humaine ki a induit le besoin augmenter de sucre... et inversement)... Chai po si chu claire (j'ai mon neurone ki pédale là)...
N'en demeure po ke je me demande toujours à koi l'aspartame peut bien être utile!!!! Et ke je suis considérée comme bizarre avec ma mini conso de sucre...
Bisous
Ps : (le lendemain matin) je viens de retrouver la phrase ki me manquait : on pourrait se passer totalement de sucre rapide ajouté, si on se passait TOTALEMENT de sel ajouté... à condition de mangé équilibré évidement...
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Lévothyrox 125 + Cynomel 12.5
Inscrit le: 22.09.07 | Messages: 184 | Thyroïdectomie totale | Yvelines | | 40+
Posté le: 11. Fév 2009, 09:24
Inscrit le: 04.05.05 | Messages: 2977 | Hashimoto | Haute-Savoie | | 50+
Posté le: 11. Fév 2009, 09:29
Bonjour,
Si il y a de l'édulcorant d'ajouté aux médicaments, c'est pour que les diabétiques puissent les prendre sans soucis ! De fait lorsqu'un diabétique est malade, sa glycémie monte en flèche, donc c'est pas la peine d'emplifier le phénomène avec du sucre.
Pourquoi met-on de l'édulcorant et pas rien du tout ? Parce que les malades ne supportent plus de consommer des médicaments infectes !
Une fois encore c'est de la faute des consommateurs qui oublient qu'un médicament n'est pas un plaisir gustatif .....
Bonne journée à bientôt
Linette a écrit: |
Bonjour à toutes,
Je me permets de réagir à vos questions sur l'asparthame : pourquoi y en a t-il dans les comprimés de cacit vitamine D3 par exemple ? les laboratoires sont-ils obligés d'en rajouter ? Tout ceci est inquiétant, si on nous fait consommer cette cochonnerie en plus... |
Si il y a de l'édulcorant d'ajouté aux médicaments, c'est pour que les diabétiques puissent les prendre sans soucis ! De fait lorsqu'un diabétique est malade, sa glycémie monte en flèche, donc c'est pas la peine d'emplifier le phénomène avec du sucre.
Pourquoi met-on de l'édulcorant et pas rien du tout ? Parce que les malades ne supportent plus de consommer des médicaments infectes !
Une fois encore c'est de la faute des consommateurs qui oublient qu'un médicament n'est pas un plaisir gustatif .....
Bonne journée à bientôt
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